Archives pour l'étiquette télescope

Vidéos : revivez l’éclipse totale de Lune en accéléré

Le 28 septembre une éclipse totale de Lune enchantait de nombreux observateurs en Europe et en Amérique. Certains d’entre eux en ont réalisé un time-lapse

Après les photographies de l’éclipse totale de Lune, voici le temps des vidéos. Certains astrophotographes ayant réalisé plusieurs centaines d’images du passage de la Lune dans le cône d’ombre terrestre, il leur a été possible de les assembler pour réaliser un time-lapse, un petit film montrant le phénomène en accéléré.

C’est le cas d’Alain Jupin, un photographe qui présente l’ensemble de son travail sur le blog Lumières d’ici… et d’Ailleurs.  Il a réuni 1600 images de l’éclipse totale de Lune (1 toutes les 10 sec) qu’il nous présente dans le time-lapse ci-dessus.

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L’ESO nous offre la nébuleuse de la Crevette

La constellation du Scorpion héberge Gum 56, une nébuleuse géante située à 6000 années-lumière, dont l’ESO vient de présenter une image très détaillée.

C’est en 1955 à l’âge de 31 ans que Colin Stanley Gum publia une liste de 85 nébuleuses de l’hémisphère sud riches en hydrogène ionisé. Cet astronome australien qui se tua 5 ans plus tard dans un accident de ski laissa son nom à cette liste, connue sous le nom de catalogue Gum.

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Gum 56 (référencée également sous le matricule IC 4628 dans l’Index Catalogue of nebulae) est surnommée la nébuleuse de la Crevette en raison de sa couleur. C’est un immense nuage d’hydrogène dont  la forme et l’éclat rose-rouge font vaguement penser au crustacé aquatique dont nous nous régalons.

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Insolite : un drone survole le Very Large Telescope

Le site emblématique du Very Large Telescope, un ensemble de 4 télescopes géants installés au Chili par l’ESO, a été photographié depuis un quadrirotor. 

Installé dans le désert chilien de l’Atacama au sommet du Cerro Paranal depuis plusieurs décennies, l’Observatoire Européen Austral (ESO) est constitué de nombreux instruments astronomiques parmi les plus puissants du monde qui opèrent sous l’un des ciels les plus purs de la planète.

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Les 4 télescopes qui composent le VLT sont les plus réputés. Ils sont équipés de miroirs primaires de 8,2 mètres de diamètre. Chacun de ces télescopes peut travailler seul, mais on peut aussi les associer à 4 autres télescopes plus petits (1,8 mètre) et mobiles (ils circulent sur des rails) de façon à former un interféromètre géant, le VLTI, capable d’offrir des vues de l’Univers 25 fois plus précises qu’avec un seul des télescopes.

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Mars aussi grosse que la Lune, le canular du 27 août

Chaque année, une rumeur stupide circule sur la Toile : la planète Mars sera aussi grosse dans le ciel que la Lune le 27 août, ce qui est impossible.

“Le 27 août, à minuit 30, regardez dans le ciel. La planète Mars sera la plus brillante. Elle sera aussi grosse que la Pleine Lune. Cela nous apparaîtra, à l’œil nu, comme si la Terre possédait 2 Lunes ! La prochaine fois que cet événement se reproduira … ce sera en 2287 ! ……Partagez cette info avec vos amis car personne en vie aujourd’hui ne pourra voir cela une seconde fois”. Chaque année c’est le même message qui arrive par courriel ou circule sur les réseaux sociaux. On appelle cela un hoax, qui désigne en anglais une fausse information propagée par les internautes.

En vidéo : le long périple d’Opportunity à la surface de Mars

Tout a commencé en août 2003, date à laquelle la planète Mars s’est approchée à 55 millions de kilomètres de la Terre. Continuer la lecture

Gros plan sur la nébuleuse planétaire ESO 378-1

Le grand télescope de l’ESO a réalisé une magnifique image de la nébuleuse planétaire australe du Hibou, une bulle de gaz crachée par une étoile mourante.

Les astronomes voulaient peut-être éviter de faire des jaloux quand ils ont décidé de nommer une nébuleuse du Hibou dans chaque hémisphère céleste. Dans le ciel boréal il y a Messier 97 à environ 2000 années-lumière dans la constellation de la Grande Ourse qui fut découverte en 1781 par l’astronome français Pierre Méchain. Tout comme la célèbre nébuleuse de la Lyre, Messier 97 fait partie de la grande famille des nébuleuses planétaires.

En vidéo : voyage en direction de la nébuleuse de la Lyre

L’autre nébuleuse du Hibou, celle du ciel austral, se trouve à 3500 années-lumière dans la constellation de l’Hydre ; elle porte la référence ESO 378-1 dans un atlas photographique réalisé entre 1971 et 1998 par une télescope de 1 m de diamètre installé par l’ESO à La Silla au Chili. L’image ci-dessous a été réalisée avec l’un des Very Large Telescope.

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Lorsqu’une étoile pas trop grosse (moins de 8 masses solaires) arrive en fin de vie, elle projette dans l’espace ses couches externes qui forment une bulle gazeuse en expansion.

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Jupiter et Vénus encadrent l’amas d’étoiles Messier 44

Avant de se retrouver côte à côte le 30 juin prochain, Jupiter et Vénus, les deux plus brillantes planètes du Système solaire, encadrent actuellement M 44.

On ne voit qu’elles dans le ciel du soir : comme deux diamants célestes, les planètes Jupiter et Vénus réduisent leur écart depuis plusieurs semaines, un rapprochement apparent qui les conduira à n’être plus qu’à 22′ d’arc l’une de l’autre le dernier jour du mois de juin (10 jours plus tôt le fin croissant de Lune se sera joint à la scène).

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Si vous attendez que le ciel soit bien sombre pour admirer ces deux planètes, vous constaterez qu’elles semblent disposées de part et d’autre d’un petit groupe d’étoiles.

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Les étoiles scintillent dans l’amas de la Crèche

L’astrophotographe Michele Brusa a capturé avec son télescope la beauté de l’amas de la Crèche.

Le 44ème objet du catalogue de Charles Messier (que l’astronome italien Galilée avait déjà observé avec sa modeste lunette en 1610, 180 ans plus tôt) est un bel amas ouvert d’étoiles situé dans la constellation du Cancer à environ 600 années-lumière de nos télescopes. Messier 44 est aussi appelé Praesepe, la Crèche ou encore la Ruche.

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Un milliers d’étoiles forment cet amas qui serait né il y a 600 millions d’années. Alors que les étoiles de l’amas des Pléiades, beaucoup plus jeunes (100 millions d’années), sont encore entourées de nébulosités, celles de M 44 ont abandonné leurs enveloppes gazeuses et se dispersent peu à peu dans l’espace.

L’image de l’amas de la Crèche proposée ci-dessus a été réalisée par l’astrophotographe italien Michele Brusa avec un appareil photo placé derrière un télescope de 25 centimètres de diamètre.

La découverte de l’amas de la Crèche est attribuée au poète grec Aratos de Soles vers 260 avant JC. Heureuse époque où l’absence totale de pollution lumineuse permettait à chacun d’admirer les merveilles du ciel nocturne depuis le pas de sa porte…

Reflets d’étoiles dans un lac de l’Ontario

Vivant souvent dans des zones fortement urbanisées, la plupart des astronomes amateurs sont à la recherche permanente de ciels bien noirs, loin de toute pollution lumineuse. Il leur faut donc se déplacer – souvent très loin – avec leur télescope et leur appareil photo dans leurs bagages.

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Lynn Hilborn est un astrophotographe heureux : installé à Grafton, un petit village au nord du lac Ontario (Canada), il n’a pas besoin de s’expatrier pour admirer le ciel étoilé.

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La planète Saturne est au plus près de la Terre

Ce samedi 23 mai, Saturne, le joyau du Système solaire, est au plus près de la Terre à seulement 1,341 milliard de km. La planète aux anneaux est en opposition avec le Soleil, ce qui signifie qu’elle se lève exactement quand se couche notre étoile.

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Vous pouvez suivre Saturne toute la nuit entre les constellations de la Balance et du Scorpion. La sixième planète du Système solaire est malheureusement assez basse, 25° seulement au-dessus de l’horizon sud, là où la turbulence atmosphérique diminue la netteté des astres.

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Aristarque et Gassendi, deux cratères sur la vieille Lune

La lunaison actuelle prendra fin le 18 mai avec la Nouvelle Lune. Depuis la Pleine Lune des fleurs le 4 mai, notre satellite naturel a perdu progressivement de sa rondeur tout en se levant de plus en plus tard pour devenir visible dans le ciel du matin.

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Sur cette image réalisée à l’aube du 14 mai, premier jour des Rencontres Astronomiques de Printemps, Séléné nous offre l’occasion de découvrir deux formations remarquables, Aristarque et Gassendi.

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L’astéroïde 2015 JF1 s’approche de la Terre le 15 mai

L’astéroïde 2015 JF1, un gros caillou d’une dizaine de mètres, passe aujourd’hui à 300 000 km de la Terre, une distance inférieure à celle qui nous sépare de la Lune. Seuls les possesseurs de télescopes d’au moins 50 cm de diamètre auront une chance d’observer cet astéroïde très discret (magnitude de 16).

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2015 JF1 a été découvert dans le cadre du Mount Lemmon Survey, un projet de surveillance des astéroïdes géocroiseurs (ou NEO pour Near Earth Object) qui utilise un télescope automatisé de 1,5 m de diamètre installé à 2800 m d’altitude dans les monts Santa Catalina en Arizona (USA). Sont classés comme géocroiseurs tous les corps de plus de 150 m qui s’approchent à moins de 8 millions de km de la Terre.

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Début de la dix-septième édition des RAP

C’est aujourd’hui jeudi 14 mai que débute la 17e édition des Rencontres Astronomiques de Printemps. Pendant 4 jours et 3 nuits, environ 300 passionnés d’astronomie vont se retrouver en Haute-Loire, dans la petite ville de Craponne sur Arzon qui pour l’occasion coupe ses éclairages.

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Dans un cadre encore épargné par la pollution lumineuse, les astronomes amateurs vont pouvoir observer et échanger ensemble. De très nombreux instruments (dont plusieurs télescopes de gros diamètre et une multitude de lunettes astronomiques) seront installés sur le site.

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En vidéo : La Station spatiale passe devant le Soleil

Le 21 avril dernier, l’astrophotographe Romain Lucchesi a réalisé d’étonnantes images : il a en effet réussi à saisir le bref passage (moins d’une seconde !) de la Station spatiale internationale (ISS) devant le Soleil, alors marqué de plusieurs taches.

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Il nous raconte : “j’ai toujours plus ou moins été intéressé par l’astronomie, mais quand j’ai commencé la photographie classique il y a 6 ans, j’étais loin d’imaginer que des belles photos du ciel étaient réalisables par des amateurs. Un jour je me suis posé la question, j’ai décidé de me renseigner, et maintenant ça fait un peu plus de 3 ans que je suis tombé à fond dans l’astrophotographie.

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En dehors des photos classiques de galaxies, nébuleuses ou planètes, je surveille en permanence les événements “rares” comme les multiples éclipses sur Jupiter, les rapprochements, ou encore des transits comme on peut le voir sur ces images de la Station spatiale internationale devant le Soleil. Ça faisait un bon moment que j’essayais de réaliser cette photo, mais l’ISS ne passe pas très souvent devant le Soleil depuis un lieu d’observation donné. De plus, faire ses études à 800 km de son télescope ne facilite pas les choses…

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Le 21 avril 2015 toutes les conditions étaient réunies : vacances, beau temps et transit à seulement 15 km de chez moi. Le site internet Calsky prévoyait le transit à 15 h 15 min 32 s, pour une durée de seulement 0,7 s. Le Soleil était encore haut dans le ciel donc l’ISS avait une taille angulaire assez importante, mais il fallait être précis sur l’heure! J’ai utilisé une application sur mobile qui donne l’heure synchronisée en temps réel sur l’horloge atomique. Matériel employé : télescope Newton de 254 mm de diamètre et 1200 mm de focale, monture équatoriale Atlas EQ-G, appareil photo Canon 60 D en mode rafale réglé à 200 iso, vitesse d’obturation de 1/8000 s pour bien figer le mouvement de l’ISS, filtre souple Astrosolar réduisant l’intensité lumineuse d’un facteur de 100 000. Pour être sûr de ne pas rater le moment fatidique, j’ai lancé la rafale 2 secondes avant l’heure prédite”.

Un croissant de vieille Lune à l’aube du 15 avril

Une lecture assidue des éphémérides vous a peut-être permis d’apprendre que le croissant de la vieille Lune du mercredi 15 avril (image ci-dessous) n’était qu’à 3,5° apparents de Neptune. Vous n’avez rien manqué, je vous rassure : la huitième et dernière planète du Système solaire n’est qu’un petit point de magnitude 8 dans les télescopes des astronomes amateurs.

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La lunaison actuelle qui a été marquée par la Pleine Lune des poissons accompagnée d’une éclipse totale invisible en Europe s’achèvera vendredi 18 avril par la Nouvelle Lune.

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Ralf Vandeberg, l’astronome amateur qui traque l’ISS

Dans le monde des astronomes amateurs, chacun a sa spécialité : il y a ceux qui sont amoureux du Soleil et suivent le développement de ses taches, d’autres qui cherchent inlassablement des comètes pour accrocher leur nom au firmament, d’autres encore qui accumulent les détails sur la Lune et les planètes, sans parler de ceux qui collectent les rares photons de galaxies lointaines.

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Le néerlandais Ralf Vandebergh a une toute autre marotte : il utilise son télescope pour filmer en haute résolution la Station spatiale internationale.

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Les Nuages de Magellan dans le ciel du Chili

C’est au cours de son grand tour de l’Amérique du Sud entre 1519 et 1521 que le navigateur portugais Fernand de Magellan mentionna dans son journal de bord l’existence de deux petites nébuleuses au milieu des étoiles du ciel austral. Ces nébuleuses prirent ensuite son nom, honneur qui aurait pu revenir à l’astronome perse Al-Soufi qui les avaient signalées 500 ans plus tôt.

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Les astronomes savent aujourd’hui que les Nuages de Magellan ne sont pas des nébuleuses mais des galaxies naines. Leur forme  irrégulière s’explique par les forces gravitationnelles exercées par la Voie lactée, leur imposante et plus proche voisine à moins de 200 000 années-lumière.

Le Grand Nuage de Magellan, à cheval entre les constellations de la Dorade et de la Table, se  situe à environ 160 000 années-lumière. Occupant dans le ciel une surface apparente équivalente à vingt fois la Pleine Lune, il a longuement été étudié par le télescope spatial Hubble, ce qui a permis d’estimer à 250 millions d’années son temps de rotation.

Le Petit Nuage de Magellan quant à lui se situe à environ 197 000 années-lumière dans la constellation du Toucan. Les deux Nuages sont séparés d’environ 20 degrés apparents dans le ciel et ils sont considérés à raison comme les deux plus beaux objets célestes observables sans instrument.

Cette très belle image a été réalisée le 15 mars 2015 par J. Colosimo pour le compte de l’ESO. L’astrophotographe se trouvait à côté des 4 télescopes auxiliaires de 1,8 mètre de diamètre associés au VLT. Ces instruments sont installés sous le ciel le plus noir du monde, au sommet du Cerro Paranal, une montagne dans le désert d’Atacama au nord du Chili.

La constellation d’Orion et l’amas des Pléiades

Il y a quelques jours, avant le retour de la Lune le soir, on pouvait profiter des vedettes célestes hivernales que sont la constellation d’Orion et l’amas d’étoiles des Pléiades.

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La scène a été prise au pied de la petite église du village de Reulle-Vergy en Côte-d’Or.

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La comète Lovejoy et la nébuleuse planétaire SH2-188

Après son passage au périhélie le 30 janvier dernier, la comète C/2014 Q2 Lovejoy s’éloigne progressivement de nous et perd lentement de son éclat. Elle n’en reste pas moins une cible de choix pour les astrophotographes de l’hémisphère nord bien équipés.

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En témoigne cette image réalisée le 10 mars par l’astrophotographe autrichien Michael Jäger, alors que la comète passait à proximité de la nébuleuse SH2-188.

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Insolite : il a neigé à l’Observatoire de La Silla

Bien que situé dans une des régions les plus sèches du monde, l’Observatoire de la Silla reçoit parfois quelques précipitations sous forme de pluie ou de neige. Mais comment peut-il y avoir des chutes de neige à un endroit où la température descend très rarement en dessous de 0°C ?

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La réponse est donnée par l’air sec. Les flocons de neige (qui se forment dans des nuages avec des températures négatives) descendent dans un air très sec : une petite partie de chaque flocon s’évapore, évaporation qui élimine l’excès de chaleur et permet aux flocons de rester assez froids pour survivre à cette descente.

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Don Parker, l’astronome qui aimait la planète Mars

Le 22 février disparaissait l’astronome amateur américain Don Parker, l’homme qui réalisa les meilleures images de la Planète rouge prises depuis la Terre.

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Né en 1939, Don Parker se découvre à l’adolescence une passion pour la planète Mars, lorsque sort en 1953 le premier long-métrage de la Guerre des Mondes, d’après le roman de science-fiction écrit par H. G. Wells en 1898.

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