Ce soir le Premier Quartier de Lune a lieu à 20 h 40 TU (22 h 40 heure française).
C’est un peu avant que j’ai réalisé cette image (je voulais qu’il fasse encore jour), l’occasion d’admirer 50% exactement de la surface lunaire.
Ce soir le Premier Quartier de Lune a lieu à 20 h 40 TU (22 h 40 heure française).
C’est un peu avant que j’ai réalisé cette image (je voulais qu’il fasse encore jour), l’occasion d’admirer 50% exactement de la surface lunaire.
Situé dans les Landes, le lac d’Hourtin est le plus grand lac naturel de France.
C’est un paradis pour les oiseaux et les plaisanciers qui, à quelques centaines de mètres de l’océan Atlantique et de ses rouleaux, bénéficient d’un immense plan d’eau calme.
Circulant en moyenne à 384 000 km de la Terre, la Lune est l’astre le plus proche de nous.
C’est d’ailleurs le seul sur lequel des hommes ont pu se rendre. C’était pendant les années 1970 dans le cadre du programme d’exploration spatiale américain Apollo.
Hier soir s’est poursuivi le flirt entre Jupiter et la Lune, mais il m’a fallu composer avec une bonne couche nuageuse.
Une trouée a fini par révéler les deux astres : à gauche un croissant de Lune accompagné de lumière cendrée, à droite la plus grosse planète du Système solaire.
Peut-être avez-vous profité de la douceur du dernier jour du mois de mai pour flâner hier soir le nez en l’air.
Vous n’aurez donc pas manqué le premier rendez-vous entre le jeune croissant lunaire et la brillante Jupiter, un jour après la jeune Lune (scène saisie au-dessus de l’église de Comblanchien en Côte-d’Or) . Après 22 heures, lorsque le ciel est devenu assez sombre, notre satellite naturel a même dévoilé une belle lumière cendrée.
Depuis le 28 mai, date de la Nouvelle Lune, notre satellite naturel a démarré une nouvelle lunaison.
C’est un très timide croissant âgé d’une cinquantaine d’heures qui a fait son apparition hier soir au-dessus de l’horizon ouest, moins d’une heure après le coucher du Soleil.
En astronomie, certains noms relèvent plus de l’usage populaire que de la réalité scientifique. C’est par exemple le cas de “l’étoile du berger”, qui est en fait la planète Vénus. Même chose pour le terme “étoiles filantes” : il ne s’agit nullement d’étoiles mais tout simplement de poussières abandonnées par les comètes sur leur orbite.
Lorsque la Terre coupe la trajectoire de ces petites particules, elles pénètrent dans l’atmosphère à grande vitesse et s’y consument sous la forme d’une brève trace lumineuse.
Le jeudi de l’Ascension marque traditionnellement le début des Rencontres Astronomiques de Printemps.
Pendant 4 jours et 3 nuits des centaines d’astronomes amateurs français et européens se retrouvent à Craponne sur Arzon, petite commune située en Haute-Loire, pour observer ensemble et échanger sur leur passion commune.
Pour les découvrir, il faut vous éloigner des villes et de leur pollution lumineuse et profiter d’une nuit sans Lune comme en ce moment. Elles, ce sont les milliards d’étoiles qui composent la Voie lactée, cette bande blanche qui traverse le ciel du nord au sud.
Son nom nous vient de la mythologie grecque : lorsque Héra arracha Héraclès de son sein, une giclée de lait se répandit dans le ciel. Mais qu’est-ce que la Voie lactée ?
Après la défaite contre l’Allemagne en 1870, la France cherche à redorer son prestige par des réalisations pacifistes spectaculaires.
1875 voit la naissance de l’Observatoire de Meudon sur un ancien domaine royal sous l’impulsion de l’astronome Janssen.
Pour surpasser la lunette de l’Observatoire de Strasbourg (construite par les Allemands), l’Observatoire de Meudon est équipé d’une grande lunette de 83 cm de diamètre pour 16,34 m de focale qui est aujourd’hui encore la troisième plus grande lunette au monde. Cet instrument est installé dans la Grande Coupole (ci-dessous).
C’est à la même époque qu’est également construit un télescope de 1 m de diamètre (ci-dessous) qui sert actuellement à la formation des futurs astronomes.
Aujourd’hui le site de Meudon se consacre principalement à l’étude du Soleil avec un sidérostat et la Tour solaire construite en 1967. L’Observatoire abrite également l’Institut de Mécanique Céleste et le Laboratoire d’Etudes Spatiales.
Ce dimanche 25 mai, trois jours avant la Nouvelle Lune, le croissant de notre satellite naturel perd de son importance. La lumière cendrée, cette faible lumière solaire que la Terre renvoie dans l’espace, commence à faire son apparition sur le reste du disque.
L’observation de l’arc lunaire sera beaucoup plus délicate les prochains matins : la Lune se levant de plus en plus tard, son apparition aura lieu dans un ciel baigné par les lumières de l’aube.
Je suis certain que vous l’avez vue ! Chaque matin depuis quelques semaines, Vénus brille au-dessus de l’horizon est.
La seconde planète du Système solaire (juste après Mercure) est l’astre nocturne le plus brillant après la Lune en raison de la couche nuageuse qui l’entoure en permanence et qui renvoie la lumière solaire.
Le Dernier Quartier passé (c’était hier), la Lune poursuit sa cure d’amincissement dans le ciel du matin.
Encore 2 ou 3 jours et vous pourrez commencer à rechercher la lumière cendrée, ce clair de Terre qui révèle délicatement le reste du disque lunaire normalement plongé dans le noir.
Après son passage au plus près de la Terre en début d’année, la plus grosse planète du Système solaire continue son lent déplacement dans la constellation des Gémeaux, non loin des étoiles jumelles Castor et Pollux.
Si vous en avez la possibilité, ne manquez pas d’observer Jupiter dans une lunette astronomique ou un télescope.
Qui a dit que les nuages empêchaient de faire des images d’ambiance avec la Lune ?
Bien sûr on préfère un ciel clair pour immortaliser une Lune Rousse par exemple, mais on peut également s’accommoder d’un ciel nuageux comme le prouvent ces deux images prises peu de temps après la Pleine Lune de mai.
Lorsque l’éclat de Séléné est suffisant et que la couche nuageuse n’est pas trop épaisse, il y a matière à de sympathiques images d’ambiance.
En 1876 l’Allemagne, devenue propriétaire de l’Alsace, décida d’implanter à Strasbourg un observatoire astronomique.
Malgré la pollution lumineuse générée par la ville, l’observatoire fut doté de la plus grande lunette d’Europe (pour l’époque), un réfracteur de 48 cm de diamètre et 7 m de focale.
Cette lunette fut utilisée principalement pour observer des étoiles variables et pour mesurer la position et la distance des étoiles (astrométrie).
Cette lunette n’a plus d’utilité scientifique aujourd’hui et l’Observatoire de Strasbourg est désormais le siège du Centre de Données Stellaires.
Depuis quelques jours Saturne est au plus près de la Terre (à la distance respectable de 1,331 milliard de km tout de même) dans la constellation de la Balance.
C’est l’occasion d’observer la planète aux anneaux, à condition de disposer d’un petit télescope ou d’une lunette astronomique. Un bon moyen pour repérer la position des planètes dans le ciel est d’attendre que la Lune s’en approche, des événements assez réguliers qu’on trouve consignés dans les éphémérides.
Le château du Clos de Vougeot dresse depuis près de 800 ans sa majestueuse silhouette au milieu du vignoble bourguignon, entre les villes de Dijon et Nuits-Saint-Georges. Construits au XIIe siècle par les moines de l’abbaye de Cîteaux, les bâtiments à usage viticole ont été complétés plus tard par un corps de logis de style Renaissance.
Hier soir j’avais choisi d’immortaliser cet édifice sous les étoiles.