Ce mois de décembre s’annonce particulièrement riche en spectacles célestes de qualité. En espérant que la météo soit de la partie…
Un mois exceptionnel :
Décembre va-t-il conclure en apothéose une riche année astronomique ? C’est en tout cas ce que laisse penser la lecture des éphémérides. Une dernière comète pour les astrophotographes, une éclipse totale de Soleil, des étoiles filantes et une belle occultation d’étoile sont au menu. Sans parler de la Grande conjonction, une extraordinaire rencontre entre Jupiter et Saturne.
Tout cela dépendra bien entendu de la météo, souvent capricieuse à cette époque. Et si tout va bien, le déconfinement progressif ne devrait pas trop entraver nos déplacements ! Continuer la lecture →
La comète C/2020 M3 (Atlas) a terminé sa traversée de la constellation d’Orion par un clin d’œil à l’une de ses plus belles étoiles, Bellatrix.
Faux rapprochement :
Elle n’est que de magnitude 7,5 mais les astronomes n’ont pas manqué de lui tirer le portrait. La comète C/2020 M3 (Atlas), beaucoup plus discrète que Neowise, passe en ce mois de novembre devant la belle constellation d’Orion. Samedi soir 14 novembre elle n’était pas très loin de l’étoile Bellatrix. Chris Schur a capturé la scène.
Bien entendu le rapprochement n’est qu’apparent : la comète se trouvait à 54 millions de km de la Terre et Bellatrix à 245 années-lumière ! Le carbone diatomique et le cyanogène sont à l’origine de la couleur verte de l’astre chevelu. Continuer la lecture →
La sonde Chang’E 5 est en route. Et si vous profitiez de la Pleine Lune ce weekend pour localiser la région où va se poser demain la mission chinoise ?
Une mission ambitieuse :
Avec Chang’E 5, c’est une opération particulièrement audacieuse que la Chine s’apprête à réaliser. Parti le 23 novembre, l’imposant vaisseau spatial (plus de 8 tonnes) est actuellement en route pour la Lune. Il devrait y larguer demain un atterrisseur au nord de l’Océan des Tempêtes. C’est dans la région du Mont Rümker, inexplorée jusqu’à présent, qu’il va collecter ses échantillons. Environ 2 kg de roches lunaires doivent être extraites et renvoyées sur Terre pour la mi-décembre. Une première depuis 1976, date de la précédente collecte réalisée par une sonde soviétique, Luna 24.
Je vous encourage à sortir et à profiter d’un weekend de beau temps pour admirer la Pleine Lune et y localiser les sites d’exploration. Continuer la lecture →
2020 restera un excellent cru en matière d’astres chevelus. Sauf surprise de dernière minute, la comète S3 Erasmus devrait clore l’année.
Encore une fille d’ATLAS :
La comète S3 Erasmus a été découverte dans la nuit du 17 septembre 2020 par l’astronome Nicolas Erasmus. Ce dernier a déniché l’astre chevelu dans les données recueillies par le réseau de surveillance ATLAS (Asteroid Terrestrial-impact Last Alert System). Si vous suivez l’actualité cométaire, ATLAS vous dit quelque chose. C’est ce même réseau qui a permis la découverte de C/2020 M3, la comète qui vient de traverser Orion.
Toujours aux aguets, Gerald Rhemann lui a tiré le portrait le 20 novembre depuis la Namibie. Une immense queue de poussières longiligne derrière une chevelure verte : S3 Erasmus a de quoi faire rêver les astrophotographes. Continuer la lecture →
La Grande conjonction, c’est une incroyable rencontre planétaire qui n’a lieu que tous les 20 ans. Le 21 décembre Jupiter et Saturne seront côte à côte !
2020, année astronomique :
S’il fallait résumer 2020, beaucoup d’entre nous évoqueraient l’épidémie de COVID-19. Mais pour les amoureux des étoiles l’année qui se termine restera un excellent cru. Ils penseront bien sûr au passage mémorable de la comète Neowise. L’astre chevelu nous a offert un très beau spectacle comme on n’en avait pas vu depuis Hale-Bopp en 1997. Les astronomes n’oublieront pas non plus la mission Osiris-Rex qui a réussi à prélever des échantillons sur l’astéroïde Bennu.
Il y a enfin la Grande conjonction le 21 décembre. Ce sera un superbe rapprochement entre Jupiter et Saturne. L’écart entre les deux planètes géantes ne cesse de se réduire depuis des mois. Continuer la lecture →
Une simple lunette astronomique ou un petit télescope permettent de merveilleuses observations lunaires. Partons à la découverte du cratère Hipparque.
Au milieu de la Lune :
J’ai le plaisir de vous proposer la douzième chronique dédiée aux paysages lunaires. Cette série, commencée il y a près de quatre ans, s’enrichit régulièrement. Comme pour les précédentes chroniques, une paire de jumelles bien calée ou mieux encore une longue-vue vous suffiront pour explorer cette zone. La découverte n’en sera que plus belle si vous disposez d’une lunette astronomique ou d’un petit télescope qui en révéleront toute la richesse. Cette fois je vous entraîne sur la bordure EST de la Mer des Nuées (Mare Nubium), légèrement au NORD du Mur Droit.
Le cratère Hipparque est observable dans les meilleures conditions juste après le Premier Quartier et avant le Dernier Quartier. Il porte le nom du célèbre astronome grec qui vécut dans l’Antiquité.
Alors que l’éclat de la Lune se fait de plus en plus puissant, les planètes Jupiter et Saturne continuent d’attirer tous les regards.
Les semaines qui viennent vont nous permettre de suivre le rapprochement entre les deux planètes géantes gazeuses Jupiter et Saturne. Il y a trois jours elles se trouvaient dans le sillage de la Lune (voir l’image). Depuis notre satellite naturel a filé vers l’EST tout en gagnant de l’éclat. Ce soir nous sommes la veille du Premier Quartier. La température est bien descendue et les tenues chaudes sont de rigueur. L’occasion de créer une composition autour d’un feu, avec les planètes entre les mains. Invisible sur le cliché, la planète Mars est également présente plus à l’EST (à gauche de l’arbre).
Le cliché a été réalisé avec un boîtier Nikon D7100 et un objectif Samyang de 12 millimètres de focale (ouverture 4,5). Pose de 6 secondes à 2500 iso. N’hésitez pas à sortir bien couvert pour admirer ce spectacle céleste. Vous pouvez aussi le photographier en vous inspirant de mes paramètres de prise de vue.
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Découverte en 2011 par un astronome amateur français, la nébuleuse planétaire du Calamar (Ou4) est un objet cosmique très original.
Objet céleste discret :
Pour découvrir la nébuleuse du Calamar (Ou4), l’astronome amateur français Nicolas Outters avait posé près de 40 heures en juin 2011 avec une lunette de 106 millimètres de diamètre. Cela représente une accumulation de poses réalisées sur plusieurs nuits avec différents filtres. Autant dire que l’observation de cette nébuleuse planétaire n’est pas à la portée de tous. Depuis une décennie, les astronomes amateurs disposent de caméras CCD qui leur permettent de traquer les astres particulièrement faibles. Les plus chevronnés de ces passionnés se consacrent à la recherche de nouvelles nébuleuses planétaires.
Ou4 est la nébuleuse planétaire la plus étendue à ce jour (à lire sur arXiv). Connue sous le nom de nébuleuse du Calamar géant (Giant Squid Nebula), c’est une nébuleuse bipolaire qui s’étire sur une longueur vertigineuse de 50 années-lumière. Cela représente plus d’un degré apparent sur le ciel, soit deux fois le diamètre de la Pleine Lune. Continuer la lecture →
Jupiter et Saturne poursuivent leur lent rapprochement. Ce soir on pouvait admirer les deux planètes géantes derrière le jeune croissant de Lune.
C’est un incroyable spectacle qui nous attend le 21 décembre. Les planètes géantes Jupiter et Saturne seront collées l’une à l’autre. Un rapprochement planétaire très serré qui ne se produit qu’une fois tous les vingt ans et dont nous reparlerons. En attendant cette superbe rencontre céleste, on peut suivre depuis plusieurs mois le lent rapprochement des deux astres. On les repère facilement au crépuscule. Ce soir la Lune âgée de trois jours était présente un peu plus bas, accompagnée de la délicate lumière cendrée. Elle sera légèrement en dessous des deux planètes géantes demain soir.
Ce cliché a été réalisé avec un boîtier Nikon D7100 et une focale de 35 millimètres. La pose était de 3 secondes à 1.000 iso. Ma compagne a gentiment pris la pose pour embellir la scène. Cette image a été reprise sur différents sites étrangers :
Vous pouvez retrouver dans la vidéo suivante quelques-unes de mes images et les astuces pour les réaliser :
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Depuis le 15 novembre, les astronomes observent des changements importants dans la région de Valles Marineris où une tempête de sable s’est levée.
Sur Mars, le spectacle continue :
Il y a un peu plus d’un mois, le 6 octobre, la planète Mars était au plus près de la Terre. Depuis, elle s’éloigne et ne reviendra pas dans d’aussi bonnes conditions avant le mois de décembre 2022. Bien que son diamètre apparent ne cesse de diminuer nuit après nuit, les astronomes amateurs (comme Philippe Mouniguet) continuent de l’observer et de la photographier. Une ténacité qui paie : ils ont repéré de spectaculaires modifications du paysage.
L’éclaircissement de la région de Valles Marineris trahit la formation d’une tempête de sable. Un phénomène météorologique dont ils vont pouvoir suivre l’évolution. Continuer la lecture →
Rares sont les galaxies spirales que nous voyons exactement de face. Dans la constellation de Céphée NGC 6946 nous offre un spectacle d’une étonnante beauté.
Un joyau tourbillonnant :
On l’appelle la galaxie du feu d’artifice et ce n’est pas par hasard. NGC 6946 est une galaxie spirale découverte par l’astronome germano-britannique William Herschel en 1798. Elle est inscrite au New General Catalog Objects. Ce dernier répertorie plusieurs milliers d’objets célestes, beaucoup plus que le catalogue Messier.
Pour découvrir NGC 6946 il faut diriger son télescope vers la constellation de Céphée, non loin de l’étoile polaire. La galaxie (de magnitude 9,6) se trouve à 10 millions d’années-lumière. Continuer la lecture →
Dernière chance ce matin pour admirer la barque lunaire avant la Nouvelle Lune du 15 novembre. Un fin croissant qui a émergé du brouillard.
Les chasseurs de fins croissants aiment les rendez-vous à l’aube avec la barque lunaire. Seuls dehors pendant que d’autres dorment, ils savourent ces instants magiques. Pendant que les dernières étoiles s’éteignent, la Lune fait son show. Il faut un œil aguerri pour repérer le fin sourire lunaire qui s’élève lentement. Une paire de jumelles est parfois indispensable pour le trouver dans l’aube naissante. Ce 14 novembre, 24 heures avant la Nouvelle Lune, notre satellite naturel est apparu au milieu des bancs de brouillard qui recouvraient la Bourgogne.
Le cliché a été réalisé avec un boîtier Nikon D7100 et un zoom réglé sur 300 mm de focale. La pose est de 1 seconde à 800 iso. Continuer la lecture →
De belles taches ont fait leur apparition sur le Soleil depuis quelques jours. Elles s’accompagnent d’éruptions solaires qui déclenchent des aurores.
Le Soleil se réveille :
Le 25e cycle solaire a débuté en décembre 2019 et le maximum est prévu pour 2025. Jusqu’à présent l’activité de notre étoile était très modeste. Mais depuis le début du mois les choses se sont accélérées. Il y a eu un premier grand groupe de taches qui porte le numéro AR 2781. On a pu suivre son évolution au fil des jours sur la page des satellites solaires SOHO (SOlar and Heliospheric Observatory) ou SDO (Solar Dynamics Observatory).
Alors qu’il est en train de rejoindre le bord opposé du Soleil, un autre groupe a fait son apparition, AR 2782. La présence de ces taches trahit une intense activité magnétique qui s’accompagne d’éruptions de matière ionisée. Continuer la lecture →
Les occultations d’étoiles par la Lune sont assez fréquentes. C’est un joli spectacle qu’il est très facile d’observer avec peu de matériel.
Cache-cache céleste :
Au fil des nuits, vous avez sans doute remarqué que la Lune et les planètes circulent dans une bande de ciel. Cette bande est centrée sur l’écliptique, un grand cercle qui symbolise le plan du Système solaire. C’est en raison de leur proximité avec l’écliptique que certaines étoiles sont régulièrement sujettes à des occultations. Vues de la Terre, elles sont éclipsées par la Lune et beaucoup plus rarement par des planètes. C’est assez logique quand on compare le diamètre apparent de notre satellite naturel (30 minutes d’arc) à celui des planètes, environ 80 fois plus petit.
Ce 11 novembre par exemple, le vieux croissant de Lune est passé devant v Virginis. Il s’agit d’une étoile géante de magnitude 4. Distante de 300 années-lumière, elle fait partie de la constellation zodiacale de la Vierge, dont la plus brillante étoile est Spica. Continuer la lecture →
En passant devant la constellation d’Orion, la comète C/2020 M3 (Atlas) n’a pas manqué de saluer les plus belles nébuleuses du ciel d’hiver.
Rencontre féérique :
Beaucoup plus discrète que Neowise lors de son passage cet été, la comète C/2020 M3 (Atlas) est actuellement de magnitude 7,5. Sa trajectoire l’amène ce mois-ci à passer devant la constellation d’Orion. C’est là que sont localisées deux des plus belles nébuleuses du ciel boréal. Messier 42 la grande nébuleuse d’Orion et IC 434, la nébuleuse de la Tête de cheval.
L’astrophotographe amateur autrichien Michael Jaeger est un grand spécialiste de l’imagerie des comètes. Il n’a donc pas manqué d’immortaliser cette rencontre. Bien entendu de tels rapprochements ne sont qu’apparents. La comète circule à quelques centaines de millions de kilomètres alors que la distance des nébuleuses et étoiles croisées se compte en centaines d’années-lumière. Continuer la lecture →
Obtenu le 30 octobre avec un télescope de 1 mètre installé au Chili, ce cliché de la planète Mars est le plus détaillé jamais obtenu depuis la Terre.
Très haute résolution :
L’image est exceptionnelle et on la doit à l’astrophotographe Damian Peach. Pour saisir la planète Mars le 30 octobre, il a utilisé un télescope à distance. Un instrument de l’observatoire Chilescope dont le miroir mesure 1 mètre de diamètre. En profitant d’une atmosphère stable, D. Peach a obtenu un portrait stupéfiant de la Planète rouge.
La calotte polaire sud (en haut du disque) a bien fondu depuis le 2 septembre, premier jour de l’été dans l’hémisphère sud martien (Mars étant inclinée sur son orbite, elle connaît des saisons, comme la Terre). C’est à la surface de cette couche de glace carbonique que la caméra de MRO (Mars Reconnaissance Orbiter)a saisi d’incroyables motifs composés de sable mélangé à la glace. Continuer la lecture →
Saisie en infrarouge par le télescope spatial Spitzer, la nébuleuse de l’Hélice (NGC 7293) nous fait de l’œil dans la constellation du Verseau.
Spectacle cosmique éphémère :
La nébuleuse planétaire de l’Hélice (NGC 7293) se situe à 650 années-lumière dans la constellation du Verseau. C’est Karl Ludwig Harding qui l’observe le premier en 1824. Cet astronome allemand était déjà célèbre pour avoir découvert la planète naine Junon vingt ans plus tôt. Qu’est-ce qu’une nébuleuse planétaire ? Lorsqu’une étoile pas trop grosse (moins de 8 masses solaires) arrive en fin de vie, elle projette dans l’espace ses couches externes qui forment une bulle gazeuse en expansion. Le cœur de cet astre (qui va devenir une naine blanche) émet un puissant rayonnement ultraviolet qui ionise le gaz de la nébuleuse, lui donnant ses couleurs.
C’est un spectacle éphémère à l’échelle de l’Univers, quelques dizaines de milliers d’années tout au plus avant que le gaz de la nébuleuse ne se dilue complètement dans l’espace. Continuer la lecture →
Les observateurs du Soleil savourent l’arrivée du premier grand groupe de taches. Le 25e cycle solaire est bel et bien lancé.
Une histoire de magnétisme :
Les taches solaires sont des zones sombres (moins chaudes) qui apparaissent régulièrement à la surface de notre étoile. Elles trahissent une intense activité magnétique. Il semble que la plus ancienne observation avérée de taches solaires soit chinoise et remonte à l’an -28. Galilée fut le premier à les observer en 1612 avec une lunette astronomique. La périodicité de l’apparition de ces taches fut évoquée par Heinrich Schwabe en 1848. Puis Rudolph Wolf détermina la durée moyenne d’un cycle solaire : environ 11 ans.
Ces taches sont numérotées dans l’ordre d’apparition par la NOAA, (National Oceanic and Atmospheric Administration), le numéro étant précédé par les lettres AR qui signifient Active Region. Continuer la lecture →
Depuis Raritan Bay, Au sud de New York, le lever de la Pleine Lune d’Halloween au-dessus de l’océan Atlantique a été particulièrement spectaculaire.
Pleine Lune d’Halloween :
Qu’est-il arrivé à la seconde Pleine Lune du mois d’octobre ? C’est sans doute la question que s’est posé Jim Haklar. Au cours de ce weekend nous avions normalement rendez-vous avec la Lune bleue. Bleue parce que c’est le nom donné traditionnellement à la seconde Pleine Lune d’un mois qui en compte deux. Mais ce n’est pas ce qu’a vu ce photographe américain. Posté dans la baie de Raritan (Raritan Bay), une baie des États-Unis formant la partie occidentale de la Lower New York Bay, il a profité d’un étonnant spectacle dans la soirée du 31 octobre. Semblant sortir de l’océan, notre satellite naturel ressemblait à un plat rempli de bonbons.
En cette soirée d’Halloween il n’en fallait pas plus pour échauffer les esprits. Une fois de plus c’est l’atmosphère terrestre qui est à l’origine du phénomène. Continuer la lecture →
La constellation du Sculpteur héberge une étonnante galaxie, ESO 350-40. Une collision est à l’origine de son aspect qui évoque une roue de chariot.
Collisions en douceur :
Les rencontres entre galaxies sont des événements cosmiques dont les astronomes sont friands. Non pour leur violence : le mélange entre les astres se fait en douceur sur des milliards d’années et il y a assez de place pour se croiser. Mais c’est le résultat final de la collision qui intrigue les chercheurs (voir à ce sujet Arp 243). On sait que dans un peu plus de 4 milliards d’années nous serons directement concernés. Le télescopage entre notre Voie lactée et la galaxie d’Andromède donnera naissance à une galaxie géante.
Dans le cas de la galaxie de la Roue de chariot, ESO 350-40, cette rencontre a eu lieu il y a bien longtemps et le résultat est assez spectaculaire. Continuer la lecture →
"J'ai en moi un besoin terrible. Dirais-je le mot? La religion. Alors, je sors la nuit et je peins des étoiles." Vincent van Gogh