Quand Jupiter se donne en spectacle, à chacun sa technique pour en garder un souvenir. Photo ou dessin, tout est possible !
Une géante qu’on admire :
Quand on pointe Jupiter avec un télescope, le spectacle est souvent au rendez-vous. Si la Grande Tache Rouge (GTR) est invisible (en raison de la rotation de la planète), il reste le ballet des satellites. En effet, Io, Europe, Ganymède et Callisto présentent chaque nuit une disposition différente. Pour savoir à quoi s’attendre, il suffit d’utiliser une application comme Shallowsky. Elle nous permet de visualiser la position des quatre lunes découvertes par Galilée :
Creusé dans la Mer des Humeurs par la chute d’un astéroïde, Gassendi est un vénérable cratère d’impact au fond crevassé.
Cap au SUD-OUEST de la Lune :
Les observateurs lunaires ne manquent jamais de pointer le cratère Gassendi un peu avant la Pleine Lune. C’est à partir du onzième jour de la lunaison qu’il apparaît sur le bord OUEST de la Mer des Humeurs. Cratère d’impact d’une centaine de kilomètres de diamètre, Gassendi porte le nom de l’astronome et mathématicien français Pierre Gassendi. L’astéroïde de 5 kilomètres de diamètre qui a formé ce cratère est tombé au Nectarien, il y a presque 4 milliards d’années.
Une simple lunette astronomique ou un petit télescope permettent de merveilleuses observations lunaires. Partons à la découverte du cratère Copernic.
Cette onzième chronique dédiée aux paysages lunaires à explorer nous entraîne dans l’hémisphère OUEST lunaire pour découvrir le splendide cratère Copernic dans la mer des Îles (Mare Insularum) et ses alentours, une région que l’on peut observer avec un éclairage rasant aux 9ème et 24ème jours de la lunaison dans une paire de jumelles bien calée ou mieux encore à l’aide d’une longue-vue, d’une lunette astronomique ou d’un petit télescope qui en révéleront toute la richesse.
Une simple lunette astronomique ou un petit télescope permettent de merveilleuses observations lunaires. Partons à la découverte du cratère Aristarque.
Cette dixième chronique dédiée aux paysages lunaires à explorer nous entraîne dans l’hémisphère NORD-OUEST lunaire pour découvrir dans l’océan des Tempêtes (Oceanus Procellarum) le cratère Aristarque et l’étonnante vallée de Schröter, une région que l’on peut observer avec un éclairage rasant aux 12ème et 26ème jours de la lunaison dans une paire de jumelles bien calée ou mieux encore à l’aide d’une longue-vue, d’une lunette astronomique ou d’un petit télescope qui en révéleront toute la richesse.
Une simple lunette astronomique ou un petit télescope permettent de merveilleuses observations lunaires. Partons à la découverte de la mer des Humeurs.
Cette huitième chronique dédiée aux paysages lunaires à explorer nous entraîne dans l’hémisphère SUD-OUEST lunaire pour découvrir la mer des Humeurs (Mare Humorum) ainsi que le superbe cratère Gassendi, une région que l’on peut observer avec un éclairage rasant aux 11ème et 25ème jours de la lunaison dans une paire de jumelles bien calée ou mieux encore à l’aide d’une longue-vue, d’une lunette astronomique ou d’un petit télescope qui en révéleront toute la richesse.
Une simple lunette astronomique ou un petit télescope permettent de merveilleuses observations lunaires. Partons à la découverte du Golfe des Iris.
Cette septième chronique dédiée aux paysages lunaires à explorer nous entraîne dans l’hémisphère nord lunaire à l’OUEST de Platon et Vallis Alpes, pour découvrir le Golfe des Iris (Sinus Iridum) que l’on peut observer avec un éclairage rasant aux 10ème et 24ème jours de la lunaison. Le Golfe des Iris apparaît déjà dans une paire de jumelles bien calée mais une lunette astronomique ou un petit télescope en montreront toute la richesse.