Le septième paroxysme de l’Etna s’est déroulé en plein jour, le dimanche 28 février en matinée : bien que similaire au 6e paroxysme nocturne (voir mon blog du 5/3/2021), il est donc apparu bien différent. Le panache était bien visible alors que les fontaines de lave l’étaient beaucoup moins. Deux observations parfaitement complémentaires en quelque sorte.

Imposant panache de cendres et lapilli (plusieurs km de haut) lors du 7e paroxysme de l’Etna, le 28/2/2021 (© J.M. Bardintzeff).

Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue, repère un niveau de tephra (des retombées ponceuses) au Komagatake, Hokkaido, Japon (© J.M. Bardintzeff).
David Christoffel (à droite) et Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue, sur les traces de Cendrillon (© J.M. Bardintzeff, merci à Jade Bardintzeff).
Le volcanologue Jacques-Marie Bardintzeff est assis … sur la chaise de l’arbitre du match de tennis à Rabaul. L’épaisseur de cendre est donc de 2 à 3 mètres (© J.M. Bardintzeff, merci à Patrice de Saint-Ours).
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