Les Chroniques de l’espace illustrées (11) : De Mir à la Station spatiale internationale

Ceci est la onzième de mes « Chroniques de l’espace illustrées ». Si vous souhaitez acquérir mon livre dans sa version papier non illustrée (édition d’origine 2019 ou en poche 2020), ne vous privez pas !

De Mir à la Station spatiale internationale

À la fin des années 1960, deux objectifs se présentent aux explorateurs de l’espace : d’une part la Lune, qui est facilement accessible depuis la Terre après un voyage de trois jours ; d’autre part, faire vivre des Hommes dans l’espace pour les préparer aux vols de plusieurs mois, voire plusieurs années vers la planète Mars. Les Soviétiques sont convaincus que cette dernière option est la plus importante sur le long terme, d’autant qu’ils doivent bien admettre leur défaite dans la course à la Lune.

C’est ainsi qu’en 1971, en plein déroulement du programme Apollo, la Russie place discrètement en orbite terrestre un nouveau véhicule spatial du nom de Saliout, qui veut dire « salut ». Ce gros satellite de 19 tonnes, offrant un espace habitable de 100 mètres cubes pour trois cosmonautes, est la première station spatiale orbitale.

Timbre soviétique datant de 1972 commémorant la mission Saliout 1. Les choses n’avaient pas été  faciles. Lancée le 19 avril 1971 par une fusée Proton depuis le cosmodrome de Baïkonour, Saliout 1 est d’abord placée en orbite sans passagers. Un premier équipage de trois hommes est lancé quatre jours plus tard à bord d’un vaisseau Soyouz; il parvient à réaliser la manœuvre de rendez-vous et à s’amarrer à la station spatiale, mais ne peut y pénétrer à cause d’une écoutille qui reste obstinément fermée. Ils doivent renoncer et revenir sur Terre. Le 6 juin 1971 Soyouz 11 emporte un nouvel équipage de trois cosmonautes qui réussissent cette fois toutes les manœuvres. Ils restent 23 jours à bord, non sans avoir essuyé entre temps un feu dans leur étroit habitacle. Leur retour sur Terre est encore plus catastrophique : ils meurent tous trois, privés d’oxygène à la suite de le dépressurisation de leur module de descente. Ils ont droit à des funérailles nationales et leurs cendres sont scellées dans le mur du Kremlin.
L’équipage de la mission Soyouz 11 composé de Gueorgui Dobrovolski, Viktor Patsaïev et Vladislav Volkov, qui finira tragiquement.

Deux ans plus tard, l’Amérique suit la même voie en plaçant en orbite permanente le troisième étage de sa grande fusée lunaire Saturn 5, rhabillée pour l’occasion en une station orbitale baptisée Skylab.

Dans ces espaces réduits, les astronautes éprouvent le stress du confinement et de la promiscuité, aggravée par les malaises du début du vol en apesanteur et les difficiles conditions hygiéniques, qui rendent invivables les séjours de longue durée.

Ensemble long de 35 mètres et d’une masse de 90 tonnes dont le module principal est réalisé à partir du troisième étage de la fusée lunaire géante Saturn V, Skylab est mise en orbite le 14 mai 1973. Le premier équipage la rejoint quelques jours plus tard. Trois équipages y séjourneront entre 1973 et 1974, dont le dernier, durant près de 84 jours, établira un record provisoire. Les astronautes réalisent à bord de nombreuses observations scientifiques et étudient l’adaptation de l’homme à l’espace. Ici l’astronaute Conrad teste le système de douche.

C’est avec le lancement de la station orbitale Mir, en 1986, que les Soviétiques marquent un pas décisif dans les opérations de survie d’équipages. Avec l’arrimage de cinq modules, la station s’agrandit de façon importante, et une quantité d’améliorations de tous ordres, comme la relève d’équipage et les cargos de ravitaillement, permet d’envisager des vols de plus de six mois.

Superbe photographie de la station russe Mir et ses cinq modules d’habitation, prise depuis la navette spatiale Atlantis en 1997.

La station s’ouvre alors aux vols internationaux, dans lesquels les Américains prennent une part très active. Mir sera une grande réussite. Restée quinze ans en orbite, elle a accueilli 103 passagers appartenant à 13 nations, et a permis de faire 23 000 expériences scientifiques dans l’espace.

Russes et Américains réunis dans la station spatiale Mir en 1995

Mais avec le vieillissement de la station et l’effondrement économique de la Russie, Mir est abandonnée en 2000 et se désintègre lors de son retour sur Terre, l’année d’après.

Les débris de la station Mir photographiés le 23 mars 2001 dans le ciel des îles Fiji.
Mir est tombée à 125 km du point d’impact prévu.

C’est alors que la Nasa conçoit un projet de nouvelle station orbitale internationale, l’ISS (International Space Station). Son assemblage en orbite commence en 1998. Au cours du temps, différents modules lui sont ajoutés mais, à la suite de nombreux problèmes techniques et budgétaires, sa construction ne s’achève qu’en 2011.

L’ISS est le plus grand des objets artificiels placés en orbite terrestre. Elle s’étend sur 110 mètres de longueur, 74 mètres de largeur et 30 mètres de hauteur et a une masse d’environ 400 tonnes. Placée sur une orbite basse comprise entre 350 et 400 kilomètres d’altitude, ce qui neutralise la gravité terrestre, elle offre une plate-forme idéale pour la science de l’espace. Très interdisciplinaire, cette science inclut des domaines aussi divers que la microbiologie, la physique fondamentale, la biologie humaine, l’astronomie, la météorologie et l’observation de la Terre.

Cette station spatiale internationale a cependant de nombreux détracteurs qui lui reprochent son coût, estimé à 110 milliards de dollars, que ne justifient pas forcément les résultats scientifiques obtenus ou espérés. Les partisans, eux, mettent en avant l’expérience acquise dans le domaine des séjours longue durée dans l’espace en vue de préparer les futures missions martiennes.

A l’intérieur de l’ISS

Les activités de l’ISS devraient s’arrêter en 2024. Elle pourrait être remplacée par une station spatiale orbitale autour de la Lune. C’est un projet de la Nasa pour la prochaine décennie, en coordination avec l’Europe, la Russie, le Canada et le Japon. Construite par petits bouts, elle servirait de relais pour s’aventurer plus loin dans le système solaire. Positionnée environ 1 000 fois plus loin de la Terre que l’ISS aujourd’hui, elle ne serait cependant pas habitée en permanence, car autour de la Lune les astronautes ne sont plus protégés par le champ magnétique de la Terre et sont exposés à des bombardements de particules potentiellement très dangereuses.

Projet de station spatiale internationale autour de la Lune (vue d’artiste).

Si l’Homme veut un jour se rendre sur Mars, il faut donc qu’il trouve un autre moyen d’apprendre à survivre plus d’une année dans un environnement spatial hostile. Pour ce faire, la Chine envisage plutôt la construction d’une base à la surface de notre satellite, projet plus complexe à réaliser mais probablement plus pertinent.

Projet Chinois de base lunaire (vue d’artiste).

19 réflexions sur “ Les Chroniques de l’espace illustrées (11) : De Mir à la Station spatiale internationale ”

  1. Bonjour!

    Un beau billet, comme d’habitude, qui nous donne des informations, peut-être, trop vite oubliées et que l’on retrouve ici avec moult précisions pour nous rafraîchir la mémoire. Merci Monsieur Luminet.

    En ce premier jour de mars, avec persévérance, revenons sur le métier pour essayer d’accrocher notre pierre au rocher des connaissances.

    Ces images que l’on voit à la télévision, un engin qui se pose, des gens devant des écrans qui se lèvent, applaudissent et s’embrassent, c’est bien une réalité, et comme on dit “la vérité” dont l’anagramme nous dit qu’elle est “relative”.

    Savent-ils ces grands savants, ingénieurs et techniciens, comment sont perçus leurs exploits, dans les chaumières qui ont un râteau sur la cheminée?

    Plus d’un pense que des milliards et des milliards envoyés en l’air devraient être utilisés autrement pour améliorer, ici-bas, notre condition humaine. Et les pauvres s’accumulent sur notre vieille terre, et les souffrances et la misère.

    La station Mir dans ce désert n’est pas l’ange échanson qui tombe des cieux pour épancher leur soif.

    Objectif Mars.

    Épicure impuissant ou Mars contre Vénus, écrit un ami de longue date. Au jardin potager, l’autre jour, entre les carottes et les aulx, nous devisions, en nos fors intérieurs, sur le poème de la nature de Lucrèce, placé sous le patronage de Vénus (Chant I, 1-28).

    Or le pacte originaire ici n’est pas avec Vénus, née de l’écume, mais avec Mars qui, dans cet ordre-là des choses, est sacrificateur et non victime.

    Science des relations entre les choses, science des relations entre les hommes…Physique et politique.

    La blessure est là, celle de la guerre et le plan rouge est dans cet ordre avec toute sa quincaillerie et ses Cyrano volants.

    Alors que faire, à part “de cavaler au vent des mirages”? Ces six derniers mots ne sont-ils pas l’exacte anagramme du nom complet de l’auteur du premier roman moderne?

    Aux chroniqueurs qui ont les pieds sur terre de faire leur travail de renversement du tableau!

    Gérard Fai

  2. il faut avancer vers la conquête de l’univers et ” Persverin “sur Mars n’est que le début. Cet aventure dans le cosmos fera comprendre à l’humanité que la terre n’a rien à voir avec le soi-disant Dieu d’Abraham.
    Que les religions ont été inventées par les hommes.Qu’il faut donc après la pandémie revoir et repenser à la vie sur tertre et en conséquence revoir la place de ces religions dans le vie de tous les jours .
    Arrêter de d’imposer aux croyants des interdits qui leurs enlèvent la joie de vivre .
    Donc ,plus ns avancerons dans la conquête de l’univers plus les habitants de la terre comprendrons leur place dans l’univers sans besoin d’un Dieu pour les opprimer pour soi-disant un paradis imaginaire !

    1. La croyance, c’est l’imaginaire contrôlé par des arrière-pensées. En ce sens les religions n’ont pas le monopole de la croyance.

  3. En quoi un des premiers romans connus comme le Satyricon serait-il moins moderne que ceux de Chrétien de Troyes, si par moderne on entend le récit dans des registres variés de langages et d’idées…

  4. Bonjour!

    Vous avez raison, Monsieur Bardou, pour aller sur Vénus, le Satyricon de la Rome antique est la monture idéale.

    A moins qu’on lui préférât, les “Fusées” du poète dont l’anagramme est le labeur de la chair!

    Mais dites-moi? Pas très chrétien, ce commentaire pour s’envoyer en l’air!

    Celui que vous nommez est un commensal des chevaliers de la Table ronde. Il y en a un autre, de La Rochelle, je crois, spécialiste des Mirages, qui rêve d’étoiles. En cet espace, sa sortie extra-véhiculaire fait date. C’était l’année de l’expérience au Laboratoire d’optique d’Orsay, reconnu d’utilité publique, de Monsieur Aspect. Enfin, il en est un troisième dont vous connaissez l’espace, un parisien, auteur de “L’espace intérieur”, ouvrage porté aux nues par Messieurs Derrida et Marion!

    Trois “Chrétien” pour monter aux cieux et conquérir Vénus…Pourquoi pas ? A chacun son heure…de s’enivrer!

    Loin de ces références urbaines, peut-on imaginer au ras des pâquerettes de notre petite planète bleue, voir se poser en douceur, juste un peu de bon sens pour que Mars vaincu se souvienne enfin, que “La morale a toujours le dernier mot”. “Alors l’amour rend Juliette à Roméo”

    Belle anagramme du professeur et de l’artiste qui, sans jeu de lettres, n’a pas fini de tourner, si l’on devait mettre ces deux-là sur orbite.

    Guéris du “Poison du cœur” (trois mots pour former “Eros et Cupidon”), les hommes de bonne volonté pourraient en chœur entonner la ballade de gens heureux.

    Sait-on jamais!

    Kalmia

  5. Bienvenu(e) Kalmia , laurier des montagnes.
    Vous m’avez dit en privé “Je me méfie du mot bonheur.
    Je le préfère en deux mots (bon / heur) quand voile et viole l’accompagnent.”
    S’agit-il de sons de viole sur un bateau à voiles ?

  6. Oh! vous savez, Monsieur Bardou, “entre la solitude et la vulgarité” l’anagramme nous laisse l’évasion : “une voile leste, l’attrait du large”.
    Il n’empêche que ces jeux de mots qui plaisent à Monsieur Luminet révèlent une certain vide intellectuel. Ils n’ont pas sauvé Unica Zürn de sa dépression, n’en déplaise aux lettrés amateurs.
    Ce vide est-il plein et les anagrammes porteuses d’un sens caché du monde? C’est au maître des étoiles, notre maestro du blogue de nous répondre.

    Kalmia

  7. Et “Narcisse”, tu connais?
    Alors, prends ses lettres et écris “Arsenics”
    Et si tu penses que “Le bonheur est dans le pré” écoute la petite voix qui murmure à ton oreille, la transposition des lettres de ton assertion “Ou le serpent dans l’herbe”.
    Je suis son chemin avec et sans Fernando.

    Kalmia

  8. Paradoxalement, la dépression est un grand appétit de vivre.
    Vous pouvez chercher une anagramme de “Combat avec le démon ?”, ce n’est pas risqué, ça occupe, ça distrait, ça dévie de la brûlure de votre corps le feu des possibles.

    Mais on se consume, mèches brillantes.

  9. Bonjour!

    Tous ces contraires vont amuser, je pense, Monsieur Luminet qui connaît l’anagramme de la “religion du démon” et celle de “l’origine de l’univers”.
    Quant à terrasser le mal, c’est une affaire d’archange et je ne suis pas dans les Puissances.
    Puisse le bien nommé maître du blogue, nous porter sa lumière!

    Gérard

  10. Bonjour!

    Un commentaire comme une bouteille à la mer.

    Les saisons passent, les billets et les commentaires aussi…

    Il faut aussi vendre ses livres quand on est écrivain…

    Publier ou périr.

    Comment en ce bas monde se libérer de tant de chaînes et d’illusions.

    D’ailleurs, est-ce vraiment possible?

    A chacun son aventure et si possible en évitant les obstacles – pas seulement épistémologiques _ que l’on rencontre, bien sûr, sur notre chemin de délivrance où guettent, tapies dans l’ombre, les marchands du temple de tous poils et les vendeurs de billevesées, fussent-elles assaisonnées à la sauce quantique!

    Y’a du pain sur la planche!

    Mais on peut toujours, même en période difficile, retrousser ses manches!

    Qu’en pensez-vous, cher lecteur, si vous êtes là?

    Jacques (qui ne fait pas de livres)

  11. Cher Jacques, le baromètre remonte.
    Vous questionnez :
    “Comment en ce bas monde se libérer de tant de chaînes et d’illusions. D’ailleurs, est-ce vraiment possible?”
    Et vous répondez : “A chacun son aventure et si possible en évitant les obstacles – pas seulement épistémologiques _ que l’on rencontre, bien sûr, sur notre chemin de délivrance”

    Les obstacles pas seulement épistémologiques, c’est tous les jours que je les ressasse par la pensée dans tous les contacts qui me heurtent. Comprenez que tous les dégoûts sont justifiés, mais que c’est triste, parce que je me déchire sous ma dent. Béni soit le lézard qui s’en est allé au ciel quand des ailes lui ont poussé, il n’a pas déménagé pour un plus petit espace vital.

  12. Merci Guillaume pour cette réponse judicieuse à Jacques dont le commentaire m’a paru sensé.
    Le hasard fait-il bien les choses? Je ne sais. En tout cas, un auteur, qui en connaît un rayon, en matière quantique me fait savoir qu’il n’a pas besoin de publier pour vivre. Voici un extrait de son message :

    “Pour vous rassurer, sachez que je n’ai pas besoin de publier pour vivre.
    … Ce qui n’est peut-être pas le cas pour certaines personnes?
    Je suis en train d’écrire une suite à mon dernier ouvrage et j’ai demandé à mon éditeur ” Les 3 colonnes” de le mettre en vente sans aucun bénéfice pour moi.” (Fin de citation)

    Ce témoignage, me semble-t-il, mérite d’être connu.
    Pour lui, ce n’est pas une mince affaire que d’expliquer le Big bang, mais c’est possible, m’écrit-il!
    Et il poursuit :
    “Ne le demandez pas à ce professeur, bien qu’il pense être à la pointe des découvertes, il ignore tout et fait partie des gens pour qui essayer de comprendre ce qu’il y avait avant le Big bang, c’est comme ^pour un marcheur de demander ce qu’il y a au nord du pôle Nord pour continuer sa marche…” (Fin de citation)

    “Un temple sur les yeux
    Noirs pour l’éternité,
    Nous allons sans les dieux
    À la divinité!”
    (Cantiques des Colonnes)

    Puisse Monsieur Luminet nous instruire pour le plaisir sur un autre horizon qui ne soit pas forcément humain.
    Bien à vous tous

    Kalmia

  13. Ce nom est-il si important?
    C’est ce qu’il dit qui compte et on en pense ce que l’on veut!
    Alors ma réponse est non.

    1. Le nom (Petit ou Grand ou Autre) aurait permis de confirmer l’intuition de qui s’adresse à nous, dans la mesure où on aurait déjà eu affaire avec cette personne que l’on connaît . Si on ne la connaît pas on la découvre et l’information du nom est neutre. C’est donc uniquement pour ça que je demandais le nom, dont en principe on ne fait pas mystère. Ensuite votre auteur s’adresse à Jean Pierre et non à moi (j’en ai la confirmation superflue dans le bout de texte que vous m’avez envoyé en privé). Je pourrais simplement remarquer que dire que “Jean-Pierre Luminet ignore tout” c’est ne pas être respectueux de la communauté dont on fait partie, ou bien peut-être n’en fait-on pas partie. Quoi qu’il en soit, même si votre auteur avait raison parce que ce serait Dieu en personne (qui ne veut pas dire son nom), je le trouve outrancier dans son style.

      Et pourtant c’est utile. Jiddu Krishnamurti avait UG Krishnamurti pour le houspiller, et dans les cours des rois il y avait les fous qui remplissaient leur office (et il fallait être très intelligent pour être un bon fou). Il y a donc des bons fous qui déraisonnent sur les autres pour empêcher ces derniers de s’égarer dans leur égo (l’ubris des Grecs), et il y en a aussi des mauvais qui ont eux-mêmes un ego surdimensionné en plus de l’apanage du fou. Ceux-là sont déments et ne servent pas à grand-chose à mon avis (avis qui n’ose pas, par la chose écrite, se dire sage, car si sagesse il y a elle est en filigrane de ce qui s’affirme).

      Pour conclure, tout jeu de fou motivé par un profond sage cherche un temps pour le dialogue raisonnable et constructif, mais le dément ne cherche pas le dialogue constructif, même avec les plus patients des simples mortels.

  14. Jacques
    C’est très juste ce que vous exprimez dans votre commentaire, cher Monsieur Bardou.
    A l’heure où j’écris ces lignes , vous connaissez le nom de l’auteur et c’est très bien ainsi.
    Chez les modernes abdhéritains, il y a encore beaucoup de travail à faire pour essayer un dialogue qui ne soit pas galère vide. L’expérience, certes difficile, ne me semble pas déraisonnable. Notre Démocrite luminescient du blogue appréciera ou non.

    Alors, on verra bien!

    Jacques

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