Du huitième paroxysme (2 mars 2021), nous n’avons pas vu grand-chose car l’Etna était nimbé de brume puis la pluie s’est mise à tomber. Mais nous avons entendu les grondements sourds. Ensuite nous avons reçus des retombées de petites pierres (des lapilli), d’une taille de quelques millimètres à un centimètres (à 6 km du sommet du volcan). Elles étaient riches en vacuoles (scoriacées) donc relativement légères… nous en avions plein des cheveux !
Jacques-Marie Bardintzeff à côté de la voiture dont le toit et le pare-brise sont couverts de lapilli, Etna, 8e paroxysme, 2/3/2021 (© J.M. Bardintzeff, merci à Sylvain Chermette).