Les roches calcaires claires des falaises d’Étretat en Seine-Maritime datent de la période géologique du Crétacé (plus précisément du Turonien – Coniacien, soit un âge de 90 millions d’années). La roche est de la craie (variété de calcaire), qui a donné son nom au Crétacé.
On note localement des lits de « rognons » de silex, que l’on retrouve en galets au pied des falaises.
Vue aérienne des falaises d’Étretat (© J.M. Bardintzeff). Continuer la lecture de Survol des falaises d’Étretat
À Châtillon-sur-Seine, dans le département de la Côte d’Or, jaillit la source de la Douix, au pied d’une petite falaise d’une trentaine de mètres de hauteur, dans un site verdoyant et enchanteur.
Il s’agit d’une source « vauclusienne » (en référence à la Fontaine de Vaucluse), résurgence ou plutôt exsurgence des eaux d’infiltrations dans le plateau calcaire châtillonnais. Celui-ci est perforé de galeries, de grottes : on parle de « karst » ou de « réseau karstique ».
La source vauclusienne de la Douix (© J.M. Bardintzeff) Continuer la lecture de La source vauclusienne de la Douix
« 80 jours voyages » organise un voyage exceptionnel à l’Erta Ale, Éthiopie (21-29 janvier 2017)
Guide : Sylvain Chermette
Conseiller scientifique : Jacques-Marie Bardintzeff (sous réserves)
Renseignements : 09 81 07 43 66
contact@80joursvoyages.com, www.80joursvoyages.com
En ce moment le lac de lave se situe à un niveau très haut et déborde épisodiquement.
La commune de Queuille dans le département du Puy-de-Dôme est célèbre par le majestueux méandre de la rivière Sioule.
Le méandre de Queuille (© J.M. Bardintzeff).
Annie Buard, qui a participé au voyage au Nicaragua avec 80 jours voyages en octobre 2016 (voir mon blog du 9/11 et jours suivants), commence une brillante carrière de réalisatrice. Elle nous propose son premier court-métrage, tourné sur les flancs du volcan Cerro Negro :
Un large cratère, d‘environ 400-450 mètres de diamètre, occupe le sommet du volcan Masaya au Nicaragua. Deux plateformes concentriques se situent l’une 100 m sous les lèvres du cratère et l’autre encore 100 m plus bas.
Le lac de lave (voir mon blog des 9 et 10 novembre 2016) se situe 50 m en contrebas, soit à une profondeur de 250 m.
Le lac de lave du volcan Masaya (© J.M. Bardintzeff).
Hier, nous avons vu comment gravir un volcan. Aujourd’hui nous allons voir comment en descendre.
Deux lugeurs au départ, au sommet du volcan Cerro Negro au Nicaragua : Jacques-Marie Bardintzeff (à gauche) et Charles Mercury (à droite) (© H. Sthioul).
Henry Chermette s‘élance (© H. Sthioul).
Jacques-Marie Bardintzeff dans la pente (© H. Sthioul).
Lors du récent voyage « éruption express » au Nicaragua, organisé par 80 Jours Voyages (Guide : Sylvain Chermette, Conseiller scientifique et pédagogique : Jacques-Marie Bardintzeff), nous avons gravi le cône volcanique du Cerro Negro (voir mon blog du 14/11/2016).
L’équipe des „cascadeurs“ au pied du volcan Cerro Negro. De gauche à droite : Henry Chermette, Charles Mercury, Dominique Mercury, Jacques-Marie Bardintzeff, Sylvain Chermette (© J.M. Bardintzeff).
Au sud-est du volcan Telica, se situe le champ géothermal de Los Hervideros de San Jaciento : fumerolles, sources chaudes, marmites de boue.
Los Hervideros de San Jaciento au pied du volcan Santa Clara au Nicaragua (© J.M. Bardintzeff).
Dans la mythologie, les volcans étaient considérés comme autant de soupiraux de l’enfer, domaine des dieux Pluton et Vulcain.