Se baigner dans la mer d’Aral est une expérience unique. Il faut d’abord franchir un niveau collant d’argile noire, qui s’étend sur plusieurs mètres. Le fond a une pente faible. L’eau est fraiche ! Mais on flotte facilement à cause de la teneur élevée en sel. On se sent seul au monde !
Quand Moynaq était un port, au bord de la mer d’Aral en Ouzbékistan, il abritait de nombreux bateaux de pêche. Ceux-ci, laissés à l’abandon à cause du recul de la mer, rouillent lentement sur le sable. On parle d’un « cimetière de bateaux ».
Moynaq était un port, au bord de la mer d’Aral en Ouzbékistan. Mais depuis celle-ci a bien diminué et Moynaq se situe maintenant à une quarantaine de kilomètres de la mer.
Il y a quelques décennies, Moynaq était un port, au bord sud de la mer d’Aral. On dit qu’il y avait 500 bateaux à l’époque. Mais la mer d’Aral se réduit malheureusement d’année en année. Aujourd’hui le phare, bien loin de la mer (située maintenant à 40 km au Nord ?), n’a plus de fonction.
Un voyage exceptionnel en Ouzbékistan, organisé par « 80 Jours Voyages » du 23 septembre au 5 octobre 2023 (Conseillers scientifiques et pédagogiques : Jacques-Marie Bardintzeff pour la géologie, Erwan Le Berre pour l’astronomie, guide sur place : Laziz, né un 30 décembre comme moi !).
Dimanche 24 septembre 2023 : arrivée à Tachkent, la capitale du pays et tour de ville.