Non il ne s’agit d’un animal préhistorique mais plutôt d’un iguane vert (Iguana iguana) du Nicaragua ! Un „reptile“ de l’ordre des squamates et du sous-ordre des sauriens.
Un iguane vert au Nicaragua (© J.M. Bardintzeff).
Non il ne s’agit d’un animal préhistorique mais plutôt d’un iguane vert (Iguana iguana) du Nicaragua ! Un „reptile“ de l’ordre des squamates et du sous-ordre des sauriens.
Un iguane vert au Nicaragua (© J.M. Bardintzeff).
Rencontre inopinée avec un perroquet familier sur la côte Pacifique du Nicaragua à Las Penitas.
Le volcanologue Jacques-Marie Bardintzeff fait ami-ami avec un joli et gentil perroquet au Nicaragua ! (© A. Buard).
Le Momotombo est un volcan mythique du Nicaragua. Son cône parfait culmine à 1297 mètres. Sa dernière éruption remonte au 1 décembre 2015 – 7 avril 2016.
Le Momotombo (à gauche) et le Momotombito (à droite), baignés par le lac Managua (© J.M. Bardintzeff).
Au volcan Masaya au Nicaragua, un lac de lave (appelé aussi „lac de magma“) occupe le fond du cratère Santiago. Il est petit (40 x 30 m) mais très bouillonnant.
Un lac de lave reste un phénomène exceptionnel sur la planète. Voici ce que j’écris à ce propos dans mon livre „Volcanologie“ (5e édition, Dunod, 2016) :
Dans le monde, quelques lacs de magma ont existé pendant de longues périodes : Kilauea, Hawaii de 1823 à 1924, puis plus récemment ; Nyamuragira, République démocratique du Congo du début du XXe siècle jusqu’en 1938 ; Nyiragongo, République démocratique du Congo de 1928 à 1977 puis de nouveau à partir de 1982 ; Erta Ale, Éthiopie et Erebus, Antarctique, actifs depuis plusieurs décennies.
Le lac de lave du volcan Masaya au Nicaragua (© J.M. Bardintzeff).
Le volcan Masaya au Nicaragua n’est pas très haut (altitude 635 m) mais bien actif ! Nous en revenons avec un groupe de „80 jours voyages“ (guide : Sylvain Chermette, conseiller scientifique : Jacques-Marie Bardintzeff).
Le sommet du volcan est occupé par une vaste caldeira (6 x 11 km) qui contient le lac Masaya et une dizaine de petits cratères actifs à tour de rôle.
“Objectif Mont-Blanc, sur les traces d’un géant”, diffusé sur Arte le 29 octobre 2016, est visible en replay jusqu’au 6 novembre :
www.arte.tv/guide/fr/051144-000-A/objectif-mont-blanc?country=AA
L’équipe réunie à l’aiguille du Midi, au pied du mont Blanc. De gauche à droite, debout :Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue et géologue, Martine Rebetez, climatologue, Étienne Klein, physicien et philosophe, Jean-Franck Charlet, guide. Devant : François-Régis Thevenet, guide, Hugo Nespoulet, médecin physiologiste (© J.M. Bardintzeff).
Samedi 29 octobre 2016, la chaîne TV Arte rediffuse en prime time (20 h 50) le documentaire “Objectif Mont-Blanc, sur les traces d’un géant”, un film de 90 mn, réalisé par Vincent Perazio.
Trois scientifiques partent à la découverte du mont Blanc, point culminant des Alpes, sur les traces du pionnier Horace-Bénédict de Saussure :
Martine Rebetez, climatologue
Étienne Klein, physicien et philosophe
Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue et géologue.
Les deux cordées sont guidées par Jean-Franck Charlet et François-Régis Thevenet et accompagnées par Hugo Nespoulet, médecin physiologiste.
À l’aiguille d’Entrèves, de gauche à droite : Martine Rebetez, climatologue, Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue, Jean-Franck Charlet, guide et Bertrand Delapierre, cinéaste (© J.M. Bardintzeff).
L’association ATLACE organise un voyage au Japon (Hokkaido, Honshu), du 20 juillet au 2 août 2017, avec le scientifique volcanologue Jacques-Marie Bardintzeff
Renseignements : tél et fax 01 46 81 16 30, atlace@orange.fr
Plusieurs volcans seront approchés et/ou visités :
À Hokkaido : Oakan-dake, Me-Akan et Akan-Fuji, volcan de boue Bokke, Asahidake, Noboribetsu et Jigokudani (vallée de l’enfer), Showa-Shinzan et Usu, Tarumaeyama, Komagatake.
À Honshu, dans la région de Nagano : Jigokudani Monkey park, Kusatsu-Shiranesan et son lac d’acide bleu, Asama.
Volcan et fleurs au Japon : ici le Kaimon Dake à Kyushu (© J.M. Bardintzeff).
Tous les écoliers de ma génération ont appris que la Seine « prend sa source sur le plateau de Langres ». Et j’ai eu plaisir à le rappeler lors de ma récente conférence, à Langres justement (voir mon blog du 7/10/2016).
En fait, plusieurs sources du secteur réclament ce privilège ! Mais l’une d’entre elle, sise sur la commune de Source-Seine à 10 km au Nord-Ouest de Saint-Seine-l’Abbaye, est considérée comme « officielle ».
Le Seine prend officiellement naissance dans ce petit vallon herbu, sur la commune de Source-Seine (© J.M. Bardintzeff).
La statue d’une nymphe personnifiant la Seine (© J.M. Bardintzeff).
Toucher la Seine à sa source… mais attention aux sangsues ! (© J.M. Bardintzeff).
À l’issue de ma conférence à Langres, Emmanuel Walliang, collègue professeur des Sciences de la Vie et de la Terre, me propose gentiment de me conduire jusqu’à la source de la Marne, non loin d’ici, sur la commune de Balesmes-sur-Marne : c’est ma récompense géologique ! Il est 19 heures. Commence alors une course contre-la-montre face au jour qui décline.
En cette saison, seul un filet d’eau, sort du petit monument bâti sur place. Mais il entame un parcours de 514 kilomètres jusqu’à se jeter dans la Seine un peu en amont de Paris, puis dans la Manche.
La source de la Marne (© J.M. Bardintzeff).