Les fjords, toujours spectaculaires, sont typiques du paysage en Norvège.
Deux superbes fjords norvégiens, survolés entre Oslo et Bodo, Norvège (© Jade Bardintzeff).
Les fjords, toujours spectaculaires, sont typiques du paysage en Norvège.
Deux superbes fjords norvégiens, survolés entre Oslo et Bodo, Norvège (© Jade Bardintzeff).
Survol d’une partie de la Norvège entre Alta au nord et Oslo au sud.
Quelque part, entre Alta et Oslo, Norvège (© J.M. Bardintzeff).
Un bon matin, un renne, sur une route, près d’Olderfjord en Norvège, satisfaisait un besoin naturel.
Un renne près d’Olderfjord en Norvège (© J.M. Bardintzeff).
Le cycliste qui arrivait en face en fut tout esbaudi !
La rencontre improbable entre un renne et un cycliste sur une route de Norvège (© J.M. Bardintzeff).
Un peu avant le cap Nord, en Norvège, vers Fástanjárgávva, la route longe des formations rocheuses étranges, en « mille-feuille » : des schistes (ardoises, phyllites) très anciens.
Schistes vers Fástanjárgávva, Norvège (© J.M. Bardintzeff).
Un article concernant un réseau de dykes (filons volcaniques) dans la région de Hama Koussou dans le nord du Cameroun vient de paraître dans la revue « Journal of Geography, Environment and Earth Science International » :
Fagny Mefire A., Bardintzeff J.M., Nkouandou O.F., Lika Gbeleng T.A. et Ngougoure Mouansie S. (2019) – Petrology and geochemistry of Hama Koussou dolerite dyke swarms (North Cameroon, Central Africa). Journal of Geography, Environment and Earth Science International, 23, 3, 1-19, 51594.
On appelle « dyke » un filon volcanique plus ou moins vertical (voir mon blog des 4/1/2014, 6/6/2015, 11/6/2015). Un réseau similaire avait été décrit dans la région de Mongo au Tchad, par la même équipe d’auteurs (voir mon blog du 3/6/2017).
Un dyke « basaltique » (dolérite) dans la savane de la région de Hama Koussou (Nord Cameroun).
Ces dykes peuvent avoir jusqu’à 12 mètres de large ! Les roches présentent une structure microgrenue, doléritique (cristaux de tailles différentes), typique des filons d’alimentation. Leurs compositions chimiques vont des basaltes aux trachyandésites basaltiques jusqu’aux trachyandésites (SiO2 compris entre 46,5 to 56 %).
On arrive au bout du bout, au cap Nord, en Norvège, exactement à la latitude 71°10’21’’ N.
Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue, devant le monument du cap Nord ; photo prise le 28 juillet 2019, à 0h10 (© J.M. Bardintzeff).
À une encablure du cap Nord, en Norvège, plus précisément dans le tout petit village de Kamoyvaer, au-delà de Honningsvåg.
L’hôtel Arran (le bâtiment bleu) à Kamoyvaer, Norvège (© J.M. Bardintzeff).
Dans le cadre de la Fête de la Science, je suis invité par l’association « Arts, Lettres et Sciences » (Alain Schydlowsky Président) à donner une conférence jeudi 10 octobre 2019 à 14 heures à Châlons-en-Champagne (51000). Le thème retenu : “Volcans, séismes et tsunamis: la Terre en colère”. Cela se passera au lycée Jean Talon, 105 avenue Daniel Simonnot, pour les lycéens et le grand public (entrée libre).
Tout savoir sur : https://bit.ly/2YuDkLw
Le volcanologue Jacques-Marie Bardintzeff, lors d’une conférence à La Ciotat le 12/9/2019, en ouverture du Festival Lumexplore (voir mon blog du 14/9/2019) (© Agathe Rescanières).
Pour atteindre le cap Nord, « sommet » de la Norvège, le plus simple est d’emprunter le « Nordkapptunnelen » (le tunnel du cap Nord). C’est-à-dire passer sous un bras de mer !
Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue, devant l’entrée sud du Nordkapptunnelen, Norvège (© J.M. Bardintzeff, merci à Philippe Salomé).
À mi-chemin entre Tromsø et Honningsvåg, dans le nord de la Norvège, un arrêt s’impose à Alta, pour visiter le « Alta Museum ». L’histoire ancienne du pays est racontée. Surtout, on peut y admirer environ 6000 gravures et peintures rupestres, âgées de 7000 à 2000 ans (soit 5000 ans av. J.-C. jusqu’à l’âge zéro) voire plus (9000 ans ?). Ce site a été découvert dans les années 1960-70, puis inscrit en 1985 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Gravures rupestres à Alta, Norvège. On reconnaît des silhouettes (20-40 cm) d’humains, d’animaux (élan, renne, ours, oiseau, poisson), d’objets (bateau, arme, filet de pêche), témoins des activités des chasseurs-piégeurs dans un site arctique préhistorique. Beaucoup de gravures ont été récemment peintes en rouge pour une meilleure visibilité (© J.M. Bardintzeff).