Grâce à Tomás Padrón Hernández et son message du 25 juillet, voici les données non officielles de l’énergie électrique de l’île d’El Hierro (Canaries) pour le premier semestre 2021 : – total et part des énergies thermiques ou des énergies fossiles (fuel) = 12 212 mwh soit 52 % ; – total et part des énergies renouvelables (éolienne ou hydraulique ou bien les deux combinées) fournies par la société locale d’électricité Gorona del Viento = 11 096 mwh soit 48 %.
La vidéo suivante (en anglais) explique le projet original de la centrale hydro-éolienne de A à Z.
Le billet sera assez bref car l’important ce sont les faits et, durant l’ensemble de l’année 2020, Gorona del Viento, la centrale hydro-éolienne de l’île d’El Hierro aux Canaries, a bien tourné, sans incident technique majeur. Elle a fourni 45,2 % d’EnR (Energies Renouvelables) du mix électrique insulaire tandis que la production annuelle totale atteignait 46 664 MWh (1 MWh = un mégawatt actif pendant une heure = 106 watts/h).Continuer la lecture →
Sur l’île d’El Hierro aux Canaries, l’archipel atlantique espagnol, le mix électrique a comporté 35 % d’énergies renouvelables (EnR) jusqu’à la mi-2020 soit durant les 6 premiers mois de l’année : un résultat qui n’est pas satisfaisant, même si le début d’année est connu traditionnellement comme « la saison des calmes », tel un voilier encalminé par l’absence de des vents. Il est bon de souligner qu’aucun problème technique sérieux n’a été relevé, depuis 2014 l’année de sa mise en service, dans le fonctionnement de la centrale électrique hydro-éolienne (de la société Gorona del Viento). Cette centrale originale est l’unique source des EnR de l’île quant à son mix ou bouquet électrique (la vidéo suivante est en espagnol).
Déjà auparavant, lors des 6 premiers mois de 2019, il y avait déjà eu certainement un recul sensible de la part des EnR dans le mix électrique de l’île, par rapport à 2018, pour ce même semestre. Continuer la lecture →
L’ère du tout nucléaire en France venait de commencer en 1980 et… depuis 40 années se sont écoulées. Avec Jocelyne, nous avons été, tous deux, diplômés architectes DPLG. Elle a exercé le métier alors que j’ai bifurqué vers celui de l’informatique puis des réseaux hertziens et nous voici à présent de jeunes retraités définitivement implantés dans le Cotentin. Cependant, quatre événements, survenus il y a peu à l’aune d’une vie, sont venus nous remettre sur ce que certains appelleraient « le droit chemin ».
L’article est dédié au Professeur Juan Diaz qui enseigna dans les années 1970-80 à l’Ecole d’Architecture (Unité Pédagogique n°7 ou UP-7 en abrégé) née de la réforme de 1968 et qui était installée à Paris, dans l’aile Sud du Grand Palais des Beaux-Arts dont la verrière ouvre ce billet.
Mais baste ! Aujourd’hui, il nous parlera de ce qu’il fait pour changer son mode de vie avec son long cheminement vers l’autonomie énergétique totale, une quête qu’il partage avec sa compagne de longue date, Jocelyne Richard.
Le billet sera bref par définition car l’important ce sont les faits et, durant l’ensemble de l’année 2019, Gorona del Viento, la centrale hydro-éolienne de l’île d’El Hierro aux Canaries, a bien tourné, sans incident technique, fournissant 54 % d’EnR (Energies Renouvelables) dans le mix électrique de l’île des Canaries.
« Les climats, les saisons, les sons, les couleurs, l'obscurité, la lumière , les éléments, les aliments, le bruit, le silence, le mouvement, le repos, tout agit sur notre machine, et sur notre âme . » Jean-Jacques Rousseau, Les confessions.