Tchad et réfugiés du Darfour : la solution des cuisines solaires

L’écologie toujours et une bonne parole en ces temps festifs de fin d’année.
L’usage des énergies renouvelables est pour tous, même les pauvres parmi les pauvres, avec la plus ancienne des énergies : celle du soleil.
De nos jours, au Tchad dans les camps de refugiés du Darfour,  plus de 130 000  personnes (libérées de l’achat de bois de chauffe) peuvent compter sur les cuisines solaires (vidéo en français).
Un agrométéolorogue devenu un Ami et un modèle, dusse-t-il en rougir, Derk Rijks lutte efficacement par ce moyen contre la pauvreté, accessoirement contre la désertification (en prévenant la coupe du bois) et indirectement il contribue à limiter le réchauffement climatique.

Ensemble de cuisines solaires installées au Tchad. © ww.SolarCooking.org

Je voulais vous parler de cette avancée dans le domaine des énergies renouvelables, à toutes celles et à tous ceux qui veulent bien suivre ce blog, avant de vous adresser mes souhaits pour une Grande Année 2015.

P.S. : plus proche de nous et de manière sans doute moins satisfaisante, le faible coût à la pompe du super-éthanol (essentiellement de l’alcool issu de la betterave sucrière) en France intéresse les conducteurs à faibles revenus : véhicules hors garantie constructeur et absence de crainte de casser un moteur largement amorti et aussi fortement polluant avec le carburant traditionnel. De plus, l’usage du super-éthanol distribué par plus de 500 pompes, localisées surtout dans le Sud de la France, a créé un filière industrielle de 20 000 personnes largement exportatrice.

Mise en place d’une cocotte dans une cuisine solaire. © www.SolarCooking.org