On appelle « tephra », l’ensemble des dépôts volcaniques à l’exception des laves. Ce terme signifie « cendre » en grec mais il est élargi aux lapilli, aux bombes… On l’écrit souvent sans accent et sans « s » car c’est déjà un pluriel.
Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue, repère un niveau de tephra (des retombées ponceuses) au Komagatake, Hokkaido, Japon (© J.M. Bardintzeff).
L’étude de la répartition des tephra s’appelle la « téphrostratigraphie » et leur datation la « téphrochronologie ».