Toujours dans la région de Langisjor, dans le sud de l’Islande, de petites dunes de sable volcanique de quelques dizaines de centimètres se sont formées sous la couche de neige fondante.
Juste en quittant le plateau volcanique de l’Etendeka vers le sud, une butte en grès rose, interprétée comme une ancienne dune pétrifiée et en partie érodée.
Dans la région de Khongor (désert de Gobi, Mongolie), un important banc de sable forme des dunes spectaculaires, la plus haute atteignant 120 m : son escalade est sportive !
Le grès (sable soudé) de Pétra, daté du Cambrien (500 millions d’années, ère Primaire) forme un plateau de 350 mètres d’épaisseur, entaillé par de profonds canyons. Sa couleur varie (grès varicolore) en fonctions des oxydes de métaux (fer, manganèse) qu’il contient. Les Nabatéens y ont creusé et sculpté la cité antique de Pétra.
Une petite île déserte, non loin de Flores en Indonésie, révèle une plage rose. Les Anglo-saxons la surnomme « Red Beach » (plage rouge). Le sable est constitué de débris de corail rouge.
À Boziaru, en Roumanie, d’étonnantes pierres rondes sont appelées « trovants », dans le site « Trovantii din Ulmet ». Elles sont constituées de sable aggloméré (grès) en anneaux sphériques autour d’une pierre jouant le rôle de noyau (ou nucleus).
Grimper au sommet de la « dune chantante » dans le parc national Altyn Emel, Kazakhstan (voir mon blog du 10/2/2020) n’est pas si simple ! Sa crête de sable est toute fine.
Dans le parc national Altyn Emel (sud-est du Kazakhstan), une dune étonnante, de 3 km de long et 120 m (150 m ?) de haut, qui « chante » par grand vent. On dit que le son rappelle la musique d’orgue.