Visite de l’Observatoire géophysique et sismologique de Garni, en Arménie. Des méthodes d’études originales. Par exemple, relever la hauteur d ‘eau dans des trous de forage (profondeur = 7 m), témoin de la compression ou de la distension du terrain de part et d’autre d’une faille.
Petrosyan Vagharshak, sismologue arménien, chef du Département (à droite), et Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue français, à l’Observatoire géophysique et sismologique de Garni, en Arménie, le 17 juillet 2018. En arrière-plan, à gauche, le relevé du récent séisme de Spitak (magnitude = 4,3) du 6 juillet 2018 (© S. Chermette).
L’Arménie a subi des séismes meurtriers, tel celui de Spitak, du 7 décembre 1988 (magnitude = 6,8) qui fit 25 000 – 30 000 morts.