Quand Moynaq était un port, au bord de la mer d’Aral en Ouzbékistan, il abritait de nombreux bateaux de pêche. Ceux-ci, laissés à l’abandon à cause du recul de la mer, rouillent lentement sur le sable. On parle d’un « cimetière de bateaux ».
Moynaq était un port, au bord de la mer d’Aral en Ouzbékistan. Mais depuis celle-ci a bien diminué et Moynaq se situe maintenant à une quarantaine de kilomètres de la mer.
Il y a quelques décennies, Moynaq était un port, au bord sud de la mer d’Aral. On dit qu’il y avait 500 bateaux à l’époque. Mais la mer d’Aral se réduit malheureusement d’année en année. Aujourd’hui le phare, bien loin de la mer (située maintenant à 40 km au Nord ?), n’a plus de fonction.