Les vestiges d’un ancien caravansérail (Davlatveray) du 13e siècle, sur le plateau d’Ustyurt en Ouzbékistan. Il y en avait un tous les 45 km en moyenne sur les 12000 km de la route de la soie entre la Chine et Venise.
Extraordinaire plateau d’Ustyurt, en bordure ouest de la mer d’Aral, en Ouzbékistan (voir aussi mon blog du 27/10/2023) : des couches géologiques (des strates), d’épaisseurs, couleurs, indurations si variées, sculptées par l’érosion.
Sur le plateau d’Ustyurt, en Ouzbékistan, près d’un cimetière pour nomades, a été édifié un mausolée aux proportions harmonieuses, pour l’imam Gonbalat (1734-1806).
Se baigner dans la mer d’Aral est une expérience unique. Il faut d’abord franchir un niveau collant d’argile noire, qui s’étend sur plusieurs mètres. Le fond a une pente faible. L’eau est fraiche ! Mais on flotte facilement à cause de la teneur élevée en sel. On se sent seul au monde !
Quand Moynaq était un port, au bord de la mer d’Aral en Ouzbékistan, il abritait de nombreux bateaux de pêche. Ceux-ci, laissés à l’abandon à cause du recul de la mer, rouillent lentement sur le sable. On parle d’un « cimetière de bateaux ».
Moynaq était un port, au bord de la mer d’Aral en Ouzbékistan. Mais depuis celle-ci a bien diminué et Moynaq se situe maintenant à une quarantaine de kilomètres de la mer.
Il y a quelques décennies, Moynaq était un port, au bord sud de la mer d’Aral. On dit qu’il y avait 500 bateaux à l’époque. Mais la mer d’Aral se réduit malheureusement d’année en année. Aujourd’hui le phare, bien loin de la mer (située maintenant à 40 km au Nord ?), n’a plus de fonction.