Le magmatisme en Islande résulte en partie du rift médio-Atlantique en extension, qui recoupe l’île.
Mais l’activité d’un « point chaud » s’ajoute à celui-ci, ce qui explique la dualité géochimique des roches volcaniques.
Le rift médio-Atlantique à Thingvellir : un pied en Eurasie et l’autre en Amérique en quelque sorte ! (© J.M. Bardintzeff).
Un point chaud, résulte d’un panache, anomalie thermique qui monte de la profondeur depuis la limite manteau-noyau (située à 2 900 km de profondeur).