Horacio Larrain, anthropologue émérite basé à Iquique (grande ville du nord du Chili), blogueur et fin connaisseur du désert d’Acatama, a participé l’an dernier à une action de terrain qui a permis aussi de rendre hommage à Carlos Espinosa, le père des attrape-brouillard chiliens. Bien évidemment, dans la zone côtière, sur les contreforts andins entre le Pacifique et le désert perché d’Atacama et pas si loin de l’Universidad Católica del Norte (UCN) d’Antofagasta où Carlos Espinosa enseigna et travailla pendant des décennies à partir de 1957.



El Hierro et la qualité de son aménagement du territoire, dans le cadre d’un exemple de développement durable, ont fait l’objet d’un article dans Le Parisien Libéré du 6 janvier 2017.

Les arbres fontaines, à partir de l’exemple du Garoé historique, y sont bien cités comme autant de sources d’eau fonctionnant dans l’atmosphère nébuleuse. Enfin, je cours et, par conséquent, j’avais oublié de mettre en ligne des photographies : celles prises tout à la fin d’octobre 2016, d’attrape-brouillard, installés par le Medio Ambiente de Canarias, juste en contrebas du plus haut sommet de l’île d’El Hierro : le Malpaso et ses 1 501 m d’altitude. Cela par une journée de grand beau temps et sans vent.
