Trous noirs et trous blancs : quelques nouvelles

Je suis en ce moment à Varsovie, invité à une conférence dédiée à l’étude des singularités en relativité générale. Mon exposé portera principalement sur la cosmologie quantique et les modèles où un rebond remplace le Big Bang.

Je souhaite néanmoins dans cette brève note évoquer un autre point très discuté ici, concernant les trous noirs (suite aux travaux de Rovelli, Haggard, Vidotto, Bianchi, etc.).

Il faut d’en premier lieu aborder la question de la « taille » d’un trou noir. Typiquement, un trou noir de la masse du Soleil possède un diamètre de quelques kilomètres. C’est un calcul simple et l’affaire semble entendue. Mais c’est aller un peu trop vite en besogne ! En réalité, même si sa masse – et donc sa taille vue depuis l’extérieur – ne change pas, le volume interne d’un trou noir augmente avec le temps (voir ici). Un « petit » trou noir peut donc en réalité contenir un volume immense si tant est que celui-ci soit formé depuis suffisamment longtemps.

NASA/FQtQ

Par ailleurs, il faut savoir que si les « trous blancs » sont souvent perçus comme des objets exotiques, ils ne sont pas si étranges que cela du point de vue de la relativité générale. Ils sont juste le « renversé temporel » d’un trou noir. Et ils constituent une solution parfaitement simple et connue des équations d’Einstein.

Enfin, dernier élément clef du scénario : la physique quantique. Elle permet l’existence de processus qui sont « classiquement » interdits. On nomme de tels occurrences des « effets tunnel ». Là encore, rien de très inhabituel : de tels phénomènes sont bien connus et utilisés depuis longtemps. La question essentielle est celle de la probabilité d’effectuation des transitions par effet tunnel. Elles sont parfois extrêmement rares, parfois aisément possibles.

En groupant tous ces ingrédients, un scénario novateur et attirant semble se dessiner (voir ici). Quand un trou noir se forme, il commencerait par s’évaporer par effet Hawking. C’est la vision usuelle et consensuelle (on ne s’intéresse pas ici à l’accrétion de matière, on considère un trou noir isolé ou de faible masse). Sa probabilité de transition par effet tunnel en « trou blanc » serait initialement très petite. Au fur et à mesure de son évaporation, la masse du trou noir diminuerait et atteindrait la masse de Planck (celle d’une poussière). A ce moment, la probabilité de transition en trou blanc deviendrait très élevée et un « trou blanc relique » se formerait donc.

from 1802.04264

Le trou blanc juste créé serait très petit vu de l’extérieur mais contiendrait encore (parce qu’il est issu d’un « vieux » trou noir) un volume interne possiblement très important. Ceci permettrait de résoudre le fameux « paradoxe de l’information ». Après un temps considérable, le trou blanc finirait par disparaitre mais son évolution resterait unitaire, ce qui est essentiel du point de vue quantique.

Ce scénario – cohérent et original – pourrait aussi avoir des conséquences pour la matière noire (voir ici). Bien qu’à mon sens cela demeure assez improbable (car il n’est pas simple de former des trous noirs dans la gamme de masse opportune pour résoudre le mystère de la matière noire), c’est une piste intéressante. Peut-être plus encore parce qu’elle offre aussi une nouvelle lumière sur la faible entropie initiale de l’Univers (un vieux problème : pourquoi notre Cosmos est-il si “improbable”).

Les trous noirs n’en finissent pas de nous étonner et ils sont loin d’avoir livré tous leurs mystères.

from aminoapps

38 réflexions sur “ Trous noirs et trous blancs : quelques nouvelles ”

  1. On a l’impression que vous voyagez comme un petit Prince dans l’Univers et que vous avez accès à une bibliothèque d’informations auquel le commun des mortels n’a pas accès.
    Quelle chance! Trou blanc! trou noir! et trou gris?? Où est-il?
    Ne serait-il pas le temps cérébral du sujet qui coordonne toute l’abstraction en réflexion de ces doubles représentations miroirs mathématiques??
    Les cellules-miroirs n’ont-elles pas quelque chose à jouer dans ces observations archétypes de trou blanc/trou noir???
    Je suis vraiment impressionné avec quelle simplicité les physiciens décrivent et semblent voyager dans le temps d’Einstein! “rien d’inhabituel”; “juste un renversé temporel”;
    excusez-nous, mais en se penchant un peu sur la question, tout le monde sait faire ce genre de modélisation opposée et complémentaire! Sans aucun préjugé, les philosophes diront:
    “un peu léger quand même!”
    Malgré tout, merci pour vos belles explications et modélisations!
    à bientôt!

    1. J’ai l’impression que les physiciens nous égarent.
      J’ai personnellement l’intuition que notre trou noir, lorsqu’il a trop avalé, produit ses rayons gamma, et se transforme en trou blanc, éjectant la matière avalée (et sans doute dans un processus sur-numéraire) sous forme principalement d’hydrogène.
      Cela forme et le halo d’hydrogène du centre galactique et les étoiles.
      Merci à Barreau d’avoir exprimé son intuition dans une conférence Tedx à Marseille, où dans un trou noir, le temps se transforme en espace et l’espace en temps.
      Dès lors, le processus décrit ci-dessus ne nous est pas perceptible.

      1. Bonjour appelé moi Kyle se n est pas mon vrai nom mais voilà je m interresse a la quantique j en connais un rayon mais moi je pense que nous pouvons passer de dimensions en dimensions a partir d un trou noir et d’un trou blanc mais sa ne rejeterai pas le temporel recontacter moi dès que possible merci.

        1. Bonjour je m’appelle Andreas je pense que l’on pourrait voyager dans le temps grâce aux trou noir parce qu’il déforme l’espace-temps Et ils aspire les étoiles et autres corps célestes à la vitesse de la lumière et l’espace-temps est déformé dedans

  2. Vous évoquez l’évaporation d’un trou noir: c’est donc qu’il existe en nature une cinquième dimension qui n’appartient pas à l’espace-temps: 3 vecteurs espace + 1 temps+ 1 transfert.
    Dans ce cas, la philosophie d’Albert Einstein est insuffisante.

    Imaginons qu’un entonnoir doit remplir une bouteille neutre dite “transparente”: on l’appelle la nature maximale d’échange.

    Notre observation espace-temps et causale se tient circonscrite dans la partie interne de l’entonnoir: on conserve une certaine liberté de la Relativité générale et restreinte.

    Mais en accélérant le processus d’observation selon un champ réducteur dans le temps, on atteint la zone de tubulure de l’entonnoir qui se met à résonner avec la bouteille: on entre alors en phase trou-noir où la lumière-matière est simultanément aspirée et conservée dans la bouteille.

    Mais la possibilité reste qu’on puisse s’échapper au niveau du goulot, c’est-à-dire à travers le jeu de transfert représenté par les surfaces tubulaires de l’entonnoir et celles du goulot interne de la bouteille.

    On remonte alors la réduction du temps dans la bouteille sous la forme d’une amplification: on passe de “l’autre côté” de l’ensemble dimensionnel restrictif pour exister dans un champ trou blanc qui laisse constater une nette diminution du phénomène de gravitation, mais toujours accompagné d’une vitesse de la Lumière qui se dirige vers l’intérieur du vase clos pseudo-ouvert par l’entonnoir.

    On conclue alors qu’il existe deux formes de thermodynamiques et causalités.

    Dans le moment passé, on devait faire face à la pénétration de la Lumière qui occasionnait l’obligation d’une équivalence énergie-matière avec l’incidence de masse et d’inertie courbe: au niveau de la phase futur située de l’autre côté de l’entonnoir Einstein-Minkowski réduit, on reste attiré vers l’intérieur parallèle, mais sans développer de masse: on est pure énergie.

    On se positionne alors dans un équilibre “qui peut le plus, peut le moins.” La nouvelle existence trou blanc permet une vitesse plus élevée d’exploitation par rapport à la célérité de transfert. Le phénomène de Gravitation y est différent: on dira qu’il se comporte comme une ascension positive. Avec le contraire de notre univers gravitationnel vers la courbure centrale.

    Le tour est alors joué! on a voyagé avec un peu d’imagination et quelques ustensiles de table.

    Il reste alors la frontière maximale trou noir/trou blanc qui se symbolise par la génératrice supérieure maximale de l’entonnoir: on dit alors qu’on est en “trou gris”, c’est-à-dire en phase cérébrale résonante avec la génératrice inférieure de l’entonnoir Einstein-Minkowski entré en réduction temporelle dans la bouteille.

    On évoque alors l’amplitude globale de conscience “inter-espace-temps”: on peut voyager en phase trou noir ou trou blanc, mais l’impression sera différente. La sensation objective sera inversement subjective.
    “tout ce qui est vide dans le cosmos, devient alors un véritable autre univers!”

    Bon voyage de super-Minkowski digne d’une bande-dessinée!

    1. je n ai rien compris,quel mik mak indigeste mais ça reste un exercice original avec même une pointe d humour : la sensation objective sera inversement subjective mdrrr ^^

      1. Cher Mat! Comment vous dire! Ce que j’ai essayé de décrire tourne autour du fait qu’il existe tout simplement une conscience relativiste qui correspond aujourd’hui à notre réalité objective, et qu’il pourrait dans ce cas exister une conscience unifiée qui correspondrait davantage à la notion de conscience purement imaginative et donc ce que l’on définit comme le subjectif, c’est-à-dire davantage retenue comme un avis singulier et appartenant à chacun; plutôt qu’un moment décrit de manière objective parfaitement standardisé.
        En d’autres termes, et à travers le jeu d’une bouteille et d’un entonnoir, ce que je veux dire c’est qu’à chaque moment de la réalité objective qui correspond à notre Univers observable, il existera un moment complémentaire davantage subjectif et lié à l’imaginaire nécessairement existentiel pour redonner toute l’amplitude de l’observation. J’accorde donc la réalité objective à l’espace et de ce fait l’autre réalité complémentaire subjective au temps. Dans ce cas, pour résumer, je définis la Réalité comme une composition spatiale à tendance objective et une composition temporelle à tendance subjective: la dernière appartiendra davantage à la notion de Mémoire encore mystérieuse. Je la compare en fait à une sorte de “Traînée” qui s’active dans le cadre d’une cinquième dimension entre l’espace et le temps; où on pourrait passer d’un côté à l’autre, mais jamais avec le même facteur de conscience: tout simplement!
        Pour image, il suffit de comparer cette analogie à celle d’un conducteur automobile qui s’équilibre entre l’horizon situé devant lui et qui vérifie sans cesse le Passé déjà dépasser avec le véhicule et sa conscience, grâce néanmoins à la présence du rétroviseur. C’est donc ce “rétroviseur” de champ qui devient à part entière la notion de temps en regard de l’espace abordé de manière plus immédiate, même si le conducteur observe une part réfléchie de l’espace dans ce rétroviseur.
        En conclusion, ce que je veux dire, c’est que nous n’observons pas directement la Matière-espace, mais plus indirectement la Matière-réfléchie à travers la nature du temps; et qui correspondra à une sorte de retour d’onde du Vide entre deux instants t1 et t2 dans l’espace: et toujours perceptible en premier lieu comme de la Matière-espace.
        Pourquoi une telle approche?
        Tout simplement parce-que l’individu humain et cérébral possède une part indéniable de libre arbitre sur la Matière que l’on définit comme la Conscience.
        Enfin, je le redis, lorsqu’un astrophysicien observe un trou noir depuis et à travers un télescope, il me semble que la capacité cérébrale reste capable de dépasser la Relativité Générale d’Albert Einstein de manière la plus naturelle, puisqu’en l’absence de la Lumière, le génie humain à la fois immédiat ou bien renvoyé à travers la conception d’un télescope, est capable de traduire cérébralement ce champ qui dépasse l’invariance absolue de la Lumière par une observation “noire”: c’est pourquoi on l’appelle “trou noir”.
        Que faut-il en retenir? Tout simplement que l’Homme connaît déjà la réponse universelle sous forme de temps, mais dès lors que celui-ci utilise les étages et filtres du champ cérébral, la Réflexion induite vient alors réduire la réponse sous la forme d’une nature espace encadrée alors avec la limite absolue de la Lumière et celle d’Einstein.
        Toutefois, il semble que l’homme est le seul garant à pouvoir simultanément observer et décrire cette nature de la Lumière que l’on interprète aujourd’hui sous la forme d’une vitesse ou d’un quanta, et qui donc se retrouve dans le cadre d’une mesure avec un appareil tout droit sortie de la capacité humaine.
        Je ne peux pas être plus clair! Après chacun définit le moment universel de conscience à sa façon…
        Merci pour votre commentaire: il aura permis cette réponse! C’est aussi ça le plus important!
        Ce que je nomme le retour d’onde du Vide n’est autre que de ‘l’Information” réalisable et non plus uniquement Réaliste.
        Il est vrai que mon approche sur la Réalité est un peu exotique! Je ne nie pas que si la pomme de Newton me tombe sur la tête, je n’en vivrais pas les effets réels de la Matière. Mais suivant la puissance du choc, je perdrais conscience de cet instant impliqué entre la Matière et la retenue Mémoire de l’Esprit: retenue “évasive” ou sans conscience qui se traduira par un “flash” cérébral de lumière. Faut-il avoir fait de la boxe pour le comprendre???
        Merci, à bientôt Mat,

        1. T’est surtout obsede par les détail je pense que le mec a qui tu repondais il a toujours rien compris scientifiqueman reveille toi un peu

        2. Waouh… Je n’ai pas tout compris mais j’ai adoré.
          Un peu comme un novice qui va écouter de la musique classique, sans avoir aucune connaissance du fonctionnement d’un instrument de musique ni même de la façon de l’utiliser, et qui pour autant savoure le résultat obtenu…
          Merci !
          Il s’est passé 4 ans.
          D’une interprétation réaliste, il est peu probable que vous ayez l’occasion de lire ma réponse.
          En revanche d’un point de vue réalisable, je sais qu’il vous parviendra..
          Dans ce cas Cyril, recevez ma gratitude et mes poussières de fée.
          À bientôt, quelque part….

    2. vraiment pas tout compris, je ne vois pas même l’allégorie de l’entonnoir, sachant qu’un horizon est sphérique. Le rayonnement d’Hawins ne semble pas utiliser d’autres dimensions que celle que nous connaissons, du moins je ne vois pas le besoin de positionner une dimension d’échange, dans ce cas il faudrait en positionner sur toutes les lois thermodynamiques.
      La notion binaires du trou blanc et noir me semble un peu epistolairitractée, cela semble juste flatter notre syndrome d’équilibre. Ma foi pourquoi pas aprés tout 🙂

      1. Tout à fait d’accord avec vous: les notions binaires de la théorie du trou noir et du trou blanc viennent satisfaire d’après moi et à l’identique de votre réflexion une sorte d’archétype de la conscience qui se satisfait de ces sortes de représentations en “logique blanche” et en “logique noire”. C’est pourquoi, j’ai essayé d’imaginer une logique “grise”, c’est-à-dire la retenue de notre propre “espace” du Sujet qui s’active dans ces logiques binaires.
        Contrairement à Mat ou à Einstein, je pense que l’Univers n’est ni fermé et sphérique, ni ouvert et en selle de cheval, ni plat.
        Il est pour ma part en dépression “hélicitique”, où il devient possible de pouvoir y intégrer le champ de réflexion de l’observateur, en “parallèle” du champ de la Matière; et afin de pouvoir toujours lui conférer un libre-arbitre observateur.
        Cette modélisation à “courbure hélicitique” se traduit comme un effet “tunnel” légèrement vrillé.
        Comment en comprendre toute l’astuce géométrique et dynamique?
        En fait, je suis parti d’une feuille plate.
        Quand on la recourbe en deux parties superposées pour pouvoir traduire une trajectoire de A vers B, et en fait un espace courbe basique, j’applique alors un facteur de “déport” qui décale la superposition: ce déport est définie comme la notion d’inertie de la matière alors relative à la nature du temps et non pas uniquement à l’espace.
        On peut le comprendre alors autrement comme un “correcteur” de l’accélération d’une masse dans l’espace: c’est ici aussi la nouveauté; l’inertie d’une masse est définie comme du temps qui va venir offrir un potentiel d’observation combiné à l’observateur.
        La feuille A4 est alors “recourbée” comme un tunnel où la tranche de cette feuille vient se joindre bord-à-bord: une fois que cette “recourbe” est effectuée, on fait glisser les bords jusqu’à la moitié respective de chacun, et on obtient donc une sorte de tunnel en hélice.
        Ce glissement bord-à-bord maximal est alors définit comme l’inertie maximale et potentielle du moment-matière observable ( ou l’énergie interne excitée pc² ); et correspondant ici à un champ recourbé vrillé.
        L’inertie de ‘glissement’ est alors considérée comme la nature propre du temps observable: on évoque moins ici la trop simpliste courbure espace-temps d’Albert Einstein, même si les deux natures sont ici parfaitement intriquées.
        Plus le glissement bord-à-bord tend vers le maximum, et davantage la modélisation se met à tourner sur elle-même, jusqu’à la limite résonante de l’énergie interne excitée au maximum; et en parallèle du potentiel observable et ici absorbé durant l’effet tunnel vrillé.
        De notre côté, en tant qu’observateur “isolé” par le libre-arbitre, on vient “lire” le moment espace-temps “recourbé en étant “aspiré” dans ce tunnel hélicitique, alors que le champ “complexe” et remanié tourne selon l’excitation de l’inertie-accélération.
        En résumé, et de manière mathématique pure, la Masse de la moindre particule est donc modélisée comme un champ “recourbé” qui évolue suivant la représentation dynamique expliquée auparavant.
        Par conséquent, on ne sépare plus la matière en terme de relativité restreinte et générale: tout y est intégré en terme de “recourbe” hélicitique à potentiel de glissement inertiel:
        où le temps “propre” du Sujet-observateur de l’expérience reste “délocalisé” mais intimement absorbé par le “vortex” de la nouvelle modélisation, dès la moindre excitation conduite sous la forme d’une expérience réalisée.
        La dynamique cinétique du système donne alors la possibilité d’une illusion probabiliste, puisque dès lors que l’expérimentateur excite la matière, il est alors impliqué dans la rotation hélicitique à glissement inertiel, et combiné entre l’observateur et l’observation: il est absorbé dans le tunnel, mais jamais il n’appartient au plan-matière recourbé.
        On vient alors créer une observabilité parfaitement intègre: et on dépasse simultanément la théorie d’Albert Einstein, tout comme l’Indéterminisme de la mécanique quantique.
        En résumé, on vient modéliser un “quatrième” modèle d’Univers mathématique: ni fermé; ni ouvert; ni plat; mais à dynamique hélicitique: et c’est sans doute la meilleure des résolutions unificatrices et innovantes qui redonne la juste place au temps propre de l’observateur dans le champ de la matière.
        De ce fait, cela implique qu’on quitte la possibilité d’une courbure positive; négative; ou bien nulle: ici donc, avec ce quatrième modèle mathématique tout à fait pertinent et juste dans sa place au sein de la nomenclature, on dira qu’il est à “ensemble vide” pour le distinguer d’un univers plat et nul.
        Pour voyager dans le temps, il convient de pouvoir maîtriser cette nouvelle approche modélisée, qui évite alors les aspects “binaires” en trou blanc et trou noir… où tout le monde cherche le trou de ver pour s’y glisser.
        En fait, avec la nouvelle modélisation, on retient que c’est la nature propre de l’observateur qui vient crée le trou de ver dès lors qu’il s’implique dans la moindre expérience de vitesse avec la matière: on évoque alors un syndrome “d’évidation” qui vient créer l’illusion de notre Univers…
        En bref, avec une simple feuille astucieusement recourbée, on vient dépasser tous les anciens postulats de la physique du XXème siècle.

      2. J ai élaborer une théorie qui met en lumière la loi fondamentale de tout ce qui a existé, existe et existera, de l inerte au vivant la même loi, je l ai appelé, Alpha et Omega une transformation de l’énergie par une pulsation en deux temps. Concentration, dissipation et entre les deux, sa transformation. Comme disait Lavoisier, tienne se crée , rien ne se perd, tout se transforme. Donc ce que nous appelons l’ Univers, n est donc qu un univers parmis d autres, le multivers en somme et le nôtre obéi à cette loi fondamentale que j ai évoquée. Ce que nous qualifions de Big Bang est en réalité le trou blanc qui par sa singularité commune avec le trou noir d un univers mère, nous a redistribué tous les éléments nécessaires à la construction du nôtre.
        Le trou noir est la concentration de l’ énergie, le trou blanc en est sa dissipation, le processus du transfert de l’un a l autre se fait par la transformation.

        1. Je parle peut-être sans savoir, mais je rejoins un peu ta théorie. Et si le big bang n’étais qu’en fait l’effondrement d’un autre univers ? Je m’explique, il existerait un trou noir dans un autre Univers qui donc “absorberait” les composants nécessaire à la création d’un nouvelle univers. Ces composants serait transformer jusqu’à un point critique de non retour avant d’être expulsé par un trou blanc. Cette fontaine blanche donnerait naissance à un nouvel univers. En gardant en tête que l’univers est en perpétuel expansion, on pourrait supposer de nouveaux composants arrivant chaque jours dans notre univers. Chaque trou noir serait en somme un lieu de création pour d’autre univers.
          Je m’exprime peut-être sans savoir et je serais ravie de débattre de ça ou d’avoir des avis divergent !

  3. Un trou noir, par effet tunnel, devient blanc, je ne comprends absolument pas, l’ effet tunnel ne concerne pas le passage des particules dans des obstacles?

    1. Pour moi aussi il me semblais qu’il s’agissait d’ailleurs d’un des principe quantique utilisé par les microscopes à balayage… Il doit s’agit d’autre chose 🙂

  4. bonjour,
    est-il concevable de penser qu’il puisse y avoir une contraction du temps aux abords d’un trou blanc et donc un effet plutôt répulsif sur la matière
    cordialement

  5. La modélisation trou noir/trou blanc paraît trop symétrique: est-ce que ça ne va pas à l’encontre de la Relativité?
    Quel genre de matière peut exister dans cette coexistence??
    Est-ce que ça ne pourrait pas être le résultat du champ de la Mémoire???
    On ne pourrait observer que le trou noir dans le champ spatial objectif: alors que le trou blanc se trouverait dans le champ temporel subjectif. C’est-à-dire ce “vide” du cosmos qu’on observe “entre” la matière visible et qui génère donc la pluralité des formes dans l’Espace du cosmos: malgré l’invariance de la lumière selon Einstein.
    On serait alors obligé de développer la modélisation trou gris ou à amplitude neutre: et donc relative à un “entre-temps” cérébral. Le fameux temps du sujet souvent laissé de côté par la Physique.
    Cette approche permettrait d’envisager autrement les déplacements dans l’Univers: et notre relation immédiate sur Terre dans sa géométrie locale.
    Ce que je trouve un peu paradoxal dans la Relativité d’Einstein, c’est que si on voyage dans l’espace-temps avec des fusées-jumelles mais avec des vitesses relativistes différentes, finalement on a jamais besoin de carte cosmologique: il suffit simplement d’accélérer vers le maximal de la lumière. La Relativité générale semble faire le reste dans un champ gigantesque encore énigmatique pour ma petite réflexion!
    En effet, si les deux fusées-jumelles ont un accident de trajectoire à 0,8C, comment peuvent-elles ne pas en avoir à la même vitesse? C’est-à-dire de quelles manières peuvent-elles conserver chacune leurs identités dans le champ inertiel de lumière maximale et invariant?
    Il me semble qu’il existe une problématique importante, si d’autant plus une fusée A décolle de Kourou et l’autre B du désert de Gobi.
    Il me paraît logique, que quelle que soit la vitesse relativiste approchée de manière identique pour chaque fusée jumelle A et B, on ne pourrait jamais faire disparaître la distance terrestre de départ: dans ce cas, si la vitesse C=1 est atteinte pour les deux fusées où on considère avoir atteint un état absolu, cette distance de départ reste encore existante malgré le ralentissement du temps vers 0 et la contraction maximale des deux fusées-jumelles respectives: car ne l’oublions pas, on constate la contraction de manière réciproque.
    On ne peut donc plus évoquer un principe de relativité, mais bien celui de “réciprocivité”. Le résultat de la Gravitation générale est inversement égal à celui de la gravitation locale terrestre: on parle alors simplement de “moments différés”.

  6. Quand on ne peut plus laisser un commentaire, le temps dépasse le concept du trou noir et du trou blanc!
    Merci quand même pour votre blog savamment construit, et pour votre liberté d’accorder pour un temps la liberté d’expression à l’autre.
    Il est temps de ne faire que passer!
    On ne sait pas tout: on peut quelque fois mal s’exprimer: on peut aussi déranger dans ses propres fautes d’expressions!

    La vérité standard ne devrait avoir peur de rien: seules les projections exotiques traduisent ce qu’il ne faut plus concevoir comme un tout.
    En d’autres termes, on peut autant définir l’Univers comme 100000 définitions plurielles entre elles qu’une seule absolument singulière: que reste-t-il alors à conquérir??
    Bonne continuation par delà le big-bang et les univers multiples: le temps du sujet ne représente-t-il pas l’horizon inhérent qui permet de redonner toutes les autres limitations?
    Une grande interrogation qui dure depuis plusieurs millénaires: Albert Einstein y aura répondu avec une certaine “courbure” finie.

  7. Sauf erreur de mémoire, il semblerait qu’Albert Einstein a spécifié le principe trou noir / trou blanc davantage comme une jeu mathématique plutôt qu’une réalité.

    Ce qui pose problème avec Albert Einstein, malgré le génie de sa forme universelle en regard de Newton, c’est qu’Einstein a sans doute construit toute la philosophie de sa théorie sur l’aspect d’un univers hypersphère: est-ce que cette forme d’univers singulière décalée par rapport à l’expansion n’avoue pas simultanément sa limite?? En d’autres termes, Albert Einstein ne propulse-t-il pas l’homme vers une limite géniale qui conduit à la fois vers une limitation moins géniale? Ou plutôt moins générique vers de nouvelles avancées??

    En effet, la finalité de l’univers d’Einstein, c’est qu’il est fermé: ne pourrait-il pas plutôt être refermé?? La nuance est de taille! Ne pourrait-il pas être recourbé dans son principe espace-temps?? La nuance est encore de taille!

    C’est ici donc qu’il deviendrait plus plausible de comprendre les trous noirs: en effet, si on considère l’expansion et le big-bang comme un vaste cône de Mach, alors il devient possible d’interpréter une interférence avec un autre univers; et donc peut-être son double-miroir parallèle.

    En effet, notre expansion correspondrait à une singularité dans un sens: l’expansion inversement double proportionnelle serait projetée dans l’autre sens tout en servant de relation “réciprociviste” capable de ralentir ou d’accélérer l’expansion actuelle.
    De manière symbolique on définirait cette triangularité universelle comme Sigma: la corrélation Sigma.
    On pourrait donc l’inscrire dans l’effectivité électron/positron.

    Cette forme métaphysique n’interdirait en rien l’aspect du big-bang: bien au contraire, celui-ci serait davantage considéré avant le big-bang comme une puissante distorsion espace-temps qui est alors traduite vulgairement comme une colossale explosion plus ou moins auto-indépendante dans la suite de son expansion.
    Mieux encore: la première lumière dite “fossile” correspondrait à l’effet de l’Univers “temps subjectif” alors que la seconde lumière correspondra davantage en source aux différents points de gravitation “étoiles-soleil” sous la forme objective.
    Vient alors, et c’est ici le virage important à imaginer, la forme “entre-temps” de la troisième lumière: celle de l’invariance d’Einstein qui correspondrait donc à notre type singulier cérébral capable d’encadrer le phénomène encore énigmatique de la lumière et sa vitesse.

    Ce principe de la troisième lumière “across-time” représenterait donc la résultante mnémonique et donc abstractive de la somme “différentielle” des deux univers “co-jacents”: se serait une véritable avancée de pensée pour notre civilisation. L’univers observable n’est ni fermé ni ouvert ni nul: il est simplement corrélatif. Il devient même une source de relativisme ultra-cosmologique cohérent où la physique quantique y trouverait mieux sa place des probabilités qui deviennent des factorielles du temps synchrone sous sa forme invisible.
    Il est à noter qu’en évoquant le terme synchrone, les deux univers inversement coniques pourraient évoluer comme des moteurs rotor/stator hyper-gravitationnelle depuis la singularité associative du big-bang.

    C’est alors que la mécanique du trou noir/trou blanc devient plus cohérente: elle s’ouvre dans une autre perspective.

    Tout l’horizon du cosmos qui mène au trou noir conduit à un genre espace objectif: et tout l’horizon du cosmos qui mène à un trou blanc conduit à un genre temps subjectif.

    Dans ce cas, notre relation d’Être observateur à l’état conscient devient une simple relation “entre-temps” mémoire qui s’anime dans un pont abstractif: où l’Absolu comme le Relatif existent simultanément sans exister.

    Seul l’homme cérébral active la réflexion ambivalente sous la forme d’une fonction OUI/MAIS NON intégrale: une sorte de quatrième dimension ambivalente, dont l’ambivalence différentielle crée une vitesse de transition-mémoire que l’on peut positionner comme une “cinquième dimension” “sustendue” et donc abstractive: celle qui permet de résoudre et de comprendre l’Univers sous la forme mathématique sans jamais pouvoir le dépasser en soi.

    C’est ici donc qu’il devient intéressant de donner une nouvelle définition au “vide” dans le cosmos: celui-ci ne serait alors que du “temps subjectif” qui correspond à l’univers temps miroir par rapport à celui dit espace objectif! Le nôtre! Celui qu’on peut observer avec la Mesure en tant que spécialiste astrophysicien et autres.

    C’est pourquoi l’un paraît vide et l’autre “plein” sous la forme de la matière blanche éclairée: en d’autres termes, notre Univers serait gigantesquement colossal dans le fait que ce vide observable visuellement et uniquement comme du vide pourrait donc obéir à une loi de l’attraction gravitationnelle dans un seul sens: celui qui remonte le passé vers le big-bang observable, alors que l’horizon opposé et énigmatique donnerait sur l’autre partie de l’Univers plutôt animé sous la forme temps subjectif.
    La théorie de la Relativité serait en partie remise en question mais en même temps “repropulsée” vers la théorie de la Transitivité.
    On en viendrait donc à une sorte d’hologramme causal de transformation avec l’aspect d’une naturelle temporelle transitive: la Transitivité du temps. Cette nature du temps qu’Etienne Klein cherche à expliquer sans véritable outil persuasif sinon grâce à l’adjonction d’un univers-bloc.

    Qu’est-ce qu’on voyage bien sur le blog d’Aurélien Barrau: merci pour votre liberté d’expression!
    Le big-bounce pourrait ici aussi y trouver un nouvel horizon.
    Notre univers ne peut plus oublier notre part de conscience:
    le refuser, c’est refuser de s’éclairer comme propre réflexion en l’homme qui réfléchit autre chose que l’homme…

  8. Bonjour, jacques.
    Le code holographe, singularités d’un code positif via négatif dans un instanton quadridimensionnel, chaque code est choisi sur une image originale d’un instanton mémoire ou action d’holographes. (Multivers).
    C’est l’origine du code qui constitue la création instanton (image). Notre univers en est le miroir. Donc pas l’instantané positif via négatifs. Protection.
    Ils y a des liaisons dans notre monde, des passages ou l’information du code donne un miroir une image préétablie de l’information local, mais ce n’est pas la mémoire du code original. Protection.
    Ceci dit la topologie du code c’est l’ouverture de liaison sur une image holographique multivers.
    Nous somme 14 années lumières de notre code holographique original ou instanton. Protection.
    On n’est pas dans un univers réel, nous en somme une copie holographe.
    Bienvenus à tous jacques.

    1. Hello Jacques,

      j’aime bien cette explication, la théorie de la 2D, si j’ai bien suivi, la projection de notre univers gagnerait une dimension supplémentaire?
      Je ne sais pas pourquoi tout penche vers cette notion de stockage de l’nformation sur des surfaces, la notion d’information sur le disque d’un TN, avec une dose de chaos avec cela me semble aussi un peu simple et je suis sur qu’elle doit être difficile à écrire ^^. Mais j’attends que nos algorythmes et méthode de résolution “du chaos” qui ne cesse d’augmenter en durée, puisse avoir une résolution temporelle suffisante pour “recomposer” l’information de surface. Si cela est vrai, nous pourrons donc le vérifier j’espère. Quant au protection sur l’analyse quadridimensionelles, elles me semble assez faibles. Dans le cas ou nous serions codés sur un espace dimensionnel autre, cela signifie que nous devrions utiliser une équation prismatique, pour contrer l’effet miroir dimensionnel, et repenser certaines lois à travers celui ci. Mais cela me semble encore une fois possible 🙂

  9. C est l explication du Big bang…
    La matière arrive bien de quelques part…
    Elle n est pas créé a partir de rien
    C est la logique même

  10. Bonjour,
    jacques
    Car ceci est toujours en mouvement de dimension basse à la dimension les plus hautes d’amplitude. L’inflation cosmologique, tout autour le vide en code holographe, il rentre en résonance, sont programme est de résonné sur l’instanton quadridimensionnel quantique une valeur de code est alors en recherche, qui correspond au code de l’instanton dans lui-même l’instanton est remplie de matières de par son enveloppe , il éclot c’est la singularité la résonance déclenche l’inflation cosmologique.
    Jacques.

  11. la tête dans les étoiles , le néocortex dans la galaxie , les aires cérébrales dans le gaz intra et extra galactique , les neurones dans les amas galactiques et les axones et leurs connexions dans l’univers visible . Il est réconfortant de penser que la recherche scientifique , qu’elle soit fondamentale et/ou observationnelle , puisse nous donner à penser et à réfléchir à la complexité des choses .

  12. Bonjour,
    Je reviens, mes propos topologique en cosmologie actuel sur ce que j’expose.
    Je suis désoler, mais je considère que tout es erroné une variable appeler (temps cosmologique) est venu fausser tout ce travail. Je remercie beaucoup ce blog, monsieur Aurélien Barrau, je vais suivre les résultats du fond cosmologique et les études de Planck de plus prés.
    A bientôt merci à tous Jacques.

  13. Bonjour,
    Une seul dimension correspond dans l’univers à l’information de toute information de l’univers d’hier et de demain cette information dimensionnel donnerai une logique dans la connexion humaine pour pouvoir avoir accès à la communication universelle donc une Stargate multivers.
    Jacques, que cache notre magnifique univers.

  14. Bonjour,
    Le code cosmologique est dans le nombre lui-même et ce nombre mis en interprétation mathématiques avec des signes donne dans l’équation un réseau de spin dans cette image topologique apparais le code du spin sur résulta quantique et relativiste il y a image miroir une matrice et une géométrie sur interprétation unique enchevêtrer.
    Jacques

  15. Bonjour M. Barraud, ( et internautes lecteur de ce modeste billet)

    je suis en train de visionner avec intérêt vos cours en ligne. Je n’ai pas encore tout regardé mais plusieurs questions me brûlent les lèvres, aussi pardonnez-moi je vous prie si vous y répondez dans les suivants ou si j’ai raté l’essence de votre réponse.

    Au sujet de la masse totale de l’univers, vous dites que seules les étoiles sont à considérer si on souhaite faire le calcul de masse dans la mesure où le nombre de trou noir de l’univers est pris égal à un millième du nombre d’étoile et que donc leur masse est négligeable et n’offre pas d’alternative crédible à l’existence d’une matière noire.

    Pouvez-vous s’il vous plait mettre en défaut mon raisonnement suivant:

    Les trous noirs engloutissent de la matière en continu (en considérant que toutes les particules ne sont pas forcement sur des orbites stables (une quantité qui m’est inconnue)). Sur une durée égale à celle de l’univers, cela m’amène à poser les questions suivantes:

    – Doit-on considérer que la masse du trou noir est figée pour l’éternité à ce qu’elle était lors de l’effondrement de l’étoile ( moins la partie éjectée lors de l’effondrement) ? n’est-elle pas amenée à augmenter au fur et à mesure de son engloutissement continu de matière?

    Cet apport de matière est censé augmenter la courbure au voisinage du trou noir, puisque la masse de celui-ci augmente. Vous pourriez- me dire que la masse mesurée n’apporte pas de réponse, soit.

    Mais comment l’espace temps pourrait être modifié par de la matière qui se trouve être figée dans le temps au niveau du centre du trou noir ? n’est-ce pas une information inaccessible puisque rien n’est censée sortir d’un trou noir ? Cette matière n’interagit avec plus rien, non ? Donc, elle ne peut plus modifier la courbure de l’espace temps, ce qui nous empêche de réaliser une mesure pertinente ?

    Autrement dit, est-ce que la quantité de matière initiale du big bang, ne disparait-elle pas à jamais de l’univers via les trous noirs, sans qu’il nous soit possible de le quantifier ? ce qui nous fait dire que l’écart de masse s’explique forcement par de la matière inconnue ?

    Dès lors les trous noirs n’expliqueraient-ils pas l’écart entre les différentes méthodes de mesure de masse de l’univers ?

    en espérant ne pas avoir dit de sottises. merci à vous pour votre temps et pour vos travaux

    Bien à vous,

    Laurent martin

  16. Bonjour. Dans une video de votre cours sur l univer un étudiant vous demande si il existe une force repulsive dans l univer en opposition avec la gravité et vous repondez non sauf erreur. Les trous blancs n en serraient ils pas ? Cordialement

  17. Bonjour,
    Serait-il possible, et/ou a-t-il été envisagé, que des univers de matière et des univers d’anti-matière existent séparés par des barrières d’énergie et reliés par des trous noirs ?
    Que notre existence matérielle ne soit qu’un épiphénonème du à une phase énergétique non homogène et peut-être transitoire.
    Merci pour votre réponse
    Cordialement
    Philippe C

  18. Bonjour.
    __Je ne pense pas qu’il y est une géométrie externe au trou noir, et une géométrie différente à l’intérieur d’un trou noir. Voici votre phrase :: [En réalité, même si sa masse – et donc sa taille vue depuis l’extérieur – ne change pas, le volume interne d’un trou noir augmente avec le temps]. Pour moi le temps n’existe plus du tout dans un trou noir, même si des micros-espaces existent à l’intérieur de celui-ci. C’est justement la seule exception où des espaces existent sans que le temps y soit associé. Dans la théorie des boucles, repris depuis quelques années par la quantique, la boucle définie aussi bien la distance minimum de Planck comme le temps minimum de Planck servant justement à la mécanique quantique. Dans cette théorie tout l’espace est rempli de boucles qui portent les mêmes valeurs, et ce indépendamment si les boucles grossissent, quand un objet rentre dans cet espace, et dans ce cas d’objet, les boucles grossissent à l’intérieur de l’objet et à l’extérieur de l’objet, et plus on s’éloigne de l’objet plus les boucles redeviennent de la taille initiale. Cette façon d’interpréter la gravitation est une bonne représentation mais ne correspond nullement à une réalité, car si un trou noir rentre dans cet espace de boucles, et bien il est obligé de posséder un temps non nul intérieur, et ce même si une seule boucle renferme le trou noir. Ce concept est pour moi faux, car je considère que le temps intérieur du trou noir est complètement nul et stoppé, et ce indépendamment de sa taille et de sa masse. Ce que vous appelé volume veut sans doute dire espace au sens dimensions, mais je ne crois pas du tout que l’intérieur d’un trou noir change la définition des dimensions et donc de volume. Voir l’intérieur d’un trou noir comme une compression de particules élémentaires, n’est pour moi non une réalité, car cette notion de particules disparaît complément au sens que l’élémentaire n’existe plus. [Un « petit » trou noir peut donc en réalité contenir un volume immense si tant est que celui-ci soit formé depuis suffisamment longtemps.] Pourquoi vouloir absolument parler de volume et non d’espace dans l’intérieur d’un trou noir ? Si on considère espace et non volume, l’espace se déforme mais pas son volume, car même un espace déformé contient toujours le même volume, et donc les dimensions sont les mêmes, mais c’est le temps qui lui se dilate. La relativité générale utilise plus ou moins le mot “Éther” pour définir cet espace-temps, et cet Éther déformé par un objet contient le même volume, même si on peut considérer que le volume soit déformé. Ce qui est déformé, ce sont les lignes droites qui se retrouvent en courbes, mais les distances sont les mêmes, et donc les dimensions exactement les mêmes, et il n’y a pas de volume plus grand à l’intérieur d’un trou noir, mais un temps totalement inexistant. Si un objet ne contient pas d’espace au sens de la relativité, il ne possède pas plus de temps, ainsi à l’intérieur des neutrinos comme ceux des quarks, le temps est forcément absent, et même si il existe des micros-espaces dans ces entités élémentaires, ces espaces sont sans cette notion de temps.
    __Pour revenir aux trous noirs, je ne crois absolument pas à l’évaporation des trous noirs de cet effet D’HAWKING, car les constituants des trous noirs ne sont plus les particules élémentaires mais autre chose, où les interactions sont totalement inexistantes. A ce niveau de décomposition des particules élémentaires, la quantique n’y est pas non plus, même si celle-ci définit plusieurs échelles de quantique. En plus de la difficulté à comprendre la physique quantique, cette quantique possède différentes échelles de conceptualisation ainsi pour définir des échelles différentes, elle utilise cette notion de “virtuel de virtuel” sans donner pour autant de vraies valeurs, c’est donc pour moi une autre physique qui n’est plus celle de l’origine quantique. Les trous blancs sont une réalité que je crois, mais non décrit comme il le sont dans cet écrit, et cette notion vient justement de Carlo ROVELLI qui est aussi à l’origine de la théorie des boucles.
    __Je pense savoir ce qu’est l’Univers qui est sans rapport avec notre Monde. Je pense savoir ce qu’est notre vrai Monde, malgré que l’on observe qu’une petite portion de celui-ci, et je pense donc savoir ce qu’est le Big-bang comme son avant mais aussi son après. Je ne sais pas du tout ce qu’est la vie, mais je pense savoir ce que sont les particules élémentaires qui n’en sont pas, car neutrino, électron quark… ne sont pas élémentaires. Je pense savoir pourquoi les objets qui voyagent suivent la géodésiques de la déformation de l’espace-temps, car je pense savoir ce qu’est l’espace-temps. Je pense savoir de qu’est l’expansion cosmologique qui n’est qu’un leurre ou illusion. Je pense encore savoir ce qu’est cette matière noire qui est encore une invention à pouvoir mettre de la gravitation où l’on en a besoin, car on peut mettre de la gravitation sans pour autant mettre de matière. Je pense savoir ce que sont les ondes gravitationnelles, malgré que l’on essaie de les détecter sans savoir pour autant ce qu’elles sont. Je pense aussi savoir pourquoi il existe une vitesse limite indépassable. Comme je pense, donc je suis, et je suis à savoir avec certitude ce qu’est le temps physique, car aucun scientifique ne peut le décrire, donc je sais car je pense par des images de pensée.
    Aucune prétention, car chacun défini son Monde.
    Amicalement.
    JFP.

  19. Bonjour,
    Les quasars ne seraient ils pas les fontaines blanches ?
    Nous le saurons bientôt !
    La constante d’Hubble s’accélère, bien sûr, plus distance entre les nébuleuses moins d’effet de gravité, des trous noirs pour aspirer la matière, s’ajoutent à l’effet de propulsion du big bang ainsi que la matière éjectée par les quasars …J.A.A.

  20. Bonjour,
    Peut-on dire que le trou blanc correspondant à un trou noir donné appartient au même univers, et quelles sont les éventuelles conséquences en terme de conservation (ou non conservation = paradoxe) de l’information ? Merci d’avance pour votre réponse.

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