6 réflexions sur “ Il faut une révolution ”

  1. Oui vraiment à cause de l’encouragement au développement de l’inculture par les chemins les plus courts à l’obtention de la satiété et de la façon la moins compliquée et la moins gênante à l’égo où l’agriculture industrielle carniste prend toute la place dans toutes les sociétés de cette planète dans l’assèchement et l’inhibition de la symbiose des écosystèmes d’une biosphère qui ne supportera plus rien dans peut-être même pas deux générations …

  2. Bonjour Aurélien Barrau
    j essaie de vous contacter pour échanger sur un sujet qui me préoccupe beaucoup depuis quelques annees deja : les météorites , et la révolution à laquelle vous appellez ! il me semble que la seule chose qu’il faut faire maintenant c est dénucléariser la terre le reste viendra !
    j’apprécie beaucoup les analyses de Jancovici, je ne partage cependant pas du tout , sa vision du risque nucléaire , malgré sa maitrise de beaucoup d’éléments du debat sur le plan technique , , je doute fort que Janconvici ,maitrise la vision globale des risques nucleaires , il me semble plus utile et efficace avant de prêcher la cause du le nucléaire francais en comparant les risques nucleaires aux effets des medicaments , que les ingénieures francais comme jancovici commence pa nous trouver des solutions pour remédier aux degats des essaies nucléaires déjà commis par la france demander aux responsables francais de prendre leurs responsabilité en nettoyant ce que les gerboises bleu et rouges ont engendré en terme de dégâts et mort irreversible sur la nature et l’homme dans le sahara algerien et en Papouasie,
    le meilleur moyen de convaincre l’opinion nationale et internationale que le risque nucléaire est maîtrisable justement de trouver le remède est de nettoyer ce que l etat francais a laissé comme mort et deolation irreversible dans ses regions qui se perpetue depuis un demis siècle sans diminuer d un iota, au contraire l étendu du desastre s’amplifie et voyage dans le monde entier ! sur la faune et la flore , ca ne semble pas inquiéter ancovici ni aucun responsable ou militant , la population locale fone et flore est livrée à elle meme malhonnêteté intellectuelle , ou ébriété politique pour maintenir la richesse et la suprématie du nucleaire francais , en appellant à la sobriété de la population francaise et celles des populations du monde et d’ outes mere , en construisant des centrales nucleaire.
    alors que pres de la france la sobriété est justement dans le le soleil ……une formidable pile nucleaire Invisible dans les calculs presdigidateursques ! l’algerie peut fournir assez d’énergie nucleaire solaire sans risque et bon marche , mais pour voir cette source d énergie ,il suffit d’ un peu de sobriété de ce pseudo nationalisme franco européen qui ne veut pas guerir de sa vision systématique en face des pays du sud qui n en manquent pas à leur tour , un pseudo- nationalisme qui finira pas d’achever ce qui reste du vivant sur terre , dautant plus vite avec cette histoire de l’ingénierie francaise :du nucleaire partout et pour tous, drole de sobriété et de partage pour sauver la terre !

  3. Je constate que l’effondrement de la conscience humaine, l’effondrement ou l’absence de volonté des décideurs de faire du bien à l’humanité, à la planète, à la faune, à la flore, leur bêtise, précède l’effondrement de la santé de la planète. Le pognon d’abord, une poignée d’individus s’empare du pouvoir de décider de l’avenir du monde.

  4. Il faut une révolution, une question?

    Il faut une révolution. Délocaliser.

    Il faut que la révolution soit à un niveau mondial. Ce n’est pas demain la veille.

    Je diminuerais, que dis-je je supprimerais, les élevages intensifs. Réorganiserais la culture localement, pour supprimer les trajets de l’enfer pour les animaux, les trajets nuisibles pour les aliments leur transformation un coup à l’Est un coup à L’Ouest. Souvent négligemment. Les trajets pollueurs.

    Je rendrais ringard et irresponsable, la consommation excessive, la variété des articles pour le goût de chacun, revaloriser, encourager l’action d’un achat utile, durable. Donner cette envie.

    Je redonnerais aux régions leur culture. La refaire revivre, la développer. Créerais des emplois, les inventerais en rapport à la révolution, relocaliserais un maximum d’entreprises. Les sièges sociaux seraient là où l’objet de l’entreprise vit, où le personnel travaille afin de développer les valeurs de la vie régionale.

    Je délocaliserais les sièges des médias.

    Je maintiendrai internet pour les informations, conseils, actualités, pour tout savoir en faveur du progrès climatique et écologique, mais sans bafam, évidemment sans les grosses boîtes, amazone etc. . Je développerai au max l’internet ici. Des achats sur internet, a côté, pas au bout du monde. Favorable au développement économique local.

    Je surveillerais réellement concrètement le bien être animal. J’interdirais qu’on impose aux vaches de fabriquer du lait pour nos pommes. Je les laisserai vivre dans les près quand elles le voudraient.

    Je subventionnerais les associations pour le bien être animal et pour les enfants en difficulté. Pour toute personne en souffrance, les personnes handicapées. Les associations en ont tellement besoin. Je ferai particulièrement attention à la gestion des établissements pour enfants. En créant des emplois rémunérés justement.

    Je ferai appliquer les lois, pourtant déjà votées et invisibilisées par le gouvernement et le parlement, pour l’égalité des salaires femmes et hommes. Honte! Mais honte!

    Je penserais à un quota pour les travaux pénibles comme ceux du bâtiment pour les BTP. Sinon on ne construit pas. Enfin, a étudier.

    Je stoppperais les constructions au maximum. Je demanderai aux chercheurs de continuer d’élaborer les matériaux écologiques. En prenant en compte les nouvelles catastrophes climatiques et oui pour un bout de temps.

    La Méditerranée a bien un jour été remplie d’eau de mer grace à l’ouverture du détroit de Gibraltar, je demanderai à des chercheurs d’étudier s’il est possible de drainer l’eau de mer jusqu’aux nappes phréatiques asséchées, au lieu de faire les bassines de l’égoïsme. Études sans doute en cours.

    Surtout, j’imposerais partout un enseignement scolaire pour tous, équivalent a celui des meilleures écoles, et en rapport àla santé de notre planète, la nôtre celle de la faune et de la flore. En rapport a la réalité d’aujourd’hui et dhier. Délocaliser. Pour ça j’imposerais la formation de plus d’enseignants, mieux payer, une meilleure pegagogie (ex; Aurélien Bateau : ses cours).

    Des enseignants humanistes et écologiques. Je rigole, (jaune) y en aura t’il suffisamment ?

    J’informerai tous les jours sur l’évolution de la révolution.

    Je proposerais des cahiers de doléances, un peu partout et surveillerai l’emploi qu’on en fera.

    Je réformerais la constitution notamment pour destituer le président de ses pouvoirs excessifs, abusifs, nuisibles.

    J’éduquerais les politiciens, les gros patrons et les ferais remplacer le temps de leur révolution personnelle, par les amis de Greta Thunberg. J’établirai une hiérarchie des salaires, des honoraires, des primes, respectueuse de l’humanité, respectueuse du travail. J’instituerais les pots de la révolution.

    J’installerais en ville des balançoires, des toboggans, des manèges pour adultes.

    Je démontrerais que l’humanité sera plus heureuse au temps de la révolution.

  5. LES TEMPÊTES D’HOMMES PIRES QUE LES TEMPETES D’OCÉANS

    Qu’est−ce que cela veut dire? cria−t−il.

    Qui a introduit cet homme dans la chambre?

    Qu’on mette cet homme dehors.

    Et apostrophant Gwynplaine avec hauteur:

    Qui êtes−vous? d’où sortez−vous?

    Gwynplaine répondit:

    Du gouffre.

    Et, croisant les bras, il regarda les lords.

    Qui je suis? je suis la misère. Milords, j’ai à vous parler.

    II y eut un frisson, et un silence. Gwynplainc continua.

    Milords, vous êtes en haut. C’est bien. Il faut croire que Dieu a ses raisons pour cela. Vous avez le pouvoir, l’opulence, la joie, le soleil immobile à votre zénith, l’autorité sans borne, la jouissance sans partage, l’immense oubli des autres. Soit. Mais il y a au−dessous de vous quelque chose. Au−dessus peut−être. Milords, je viens vous apprendre une nouvelle. Le genre humain existe.

    Les assemblées sont comme les enfants; les incidents sont leur boîte à surprises, et elles en ont la peur, et le goût. Il semble parfois qu’un ressort joue, et l’on voit jaillir du trou un diable. Ainsi en France Mirabeau, difforme lui aussi.

    Gwynplaine en ce moment sentait en lui un grandissement étrange. Un groupe d’hommes à qui l’on parle, c’est un trépied. On est, pour ainsi dire, debout sur une cime d’âmes. On a sous son talon un tressaillement d’entrailles humaines. Gwynplaine n’était plus l’homme qui, la nuit précédente, avait été, un instant, presque
    petit. Les fumées de cette élévation subite, qui l’avaient troublé, s’étaient allégées et avaient pris de la transparence, et là où Gwynplaine avait été séduit par une vanité, il voyait maintenant une fonction. Ce qui l’avait d’abord amoindri, à présent le rehaussant. Il était illuminé d’un de ces grands éclairs qui viennent du devoir.

    On cria de toutes parts autour de Gwynplaine:

    – Écoutez! Écoutez!

    Lui cependant, crispé et surhumain, réussissait à maintenir sur son visage la contraction sévère et lugubre, sous laquelle se cabrait le rictus, comme un cheval sauvage prêt à s’échapper. Il reprit:

    Je suis celui qui vient des profondeurs. Milords, vous êtes les grands et les riches. C’est périlleux. Vous profitez de la nuit. Mais prenez garde, il y a une grande puissance, l’aurore. L’aube ne peut être vaincue. Elle arrivera. Elle arrive. Elle a en elle le jet du jour irrésistible. Et qui empêchera cette fronde de jeter le soleil dans le ciel? Le soleil, c’est le droit. Vous, vous êtes le privilège. Ayez peur. Le vrai maître de la maison va frapper à la porte. Quel est le père du privilège? le hasard. Et quel est son fils? l’abus. Ni le hasard ni l’abus ne sont solides. Ils ont l’un et l’autre un mauvais lendemain. Je viens vous avertir. Je viens vous dénoncer votre bonheur. Il est fait du malheur d’autrui. Vous avez tout, et ce tout se compose du rien des autres. Milords, je suis l’avocat désespéré, et je plaide la cause perdue. Cette cause, Dieu la regagnera. Moi, je ne suis rien, qu’une voix. Le genre humain est une bouche, et j’en suis le cri. Vous m’entendrez. Je viens ouvrir devant vous, pairs d’Angleterre, les grandes assises du peuple, ce souverain, qui est le patient, ce condamné, qui est le juge.

    L’homme Qui Rit Victor Hugo

  6. Bonjour monsieur.

    Je suis d’accord avec vous, des révolutions sont aussi urgentes qu’indispensables. Pour des évolutions de nos systèmes de pensées et d’application dans nos rapports avec nos différentes Nature ; humaines et environnementales.

    Pour ce faire, je pense qu’il y a que des solutions simples, et j’aimerais les partager et les travailler avec vous.

    Nous savons tous que l’écologie et le consumerisme ne sont pas compatibles, donc il nous faut, dans l’absolue, sortir de l’hyper-consommation de l’hyper-transfomation. La décroissance est inévitable, simplement parce que le monde est fini.

    Investir dans les outils nous permettant de transformer TOUS nos déchets en matière première est une évidence, les technologies d’aujourd’hui nous permettent de nous équiper de systèmes de production à pollution négative, si nos politiques optent pour ces choix objectifs, qui sont en contre sens total des lubies de la voiture électrique.

    Pour cela, voici un pod cast qui m’a inspiré l’idée suivante :

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/esprit-de-justice/la-riviere-est-elle-une-personne-pour-le-droit-2267130

    Intégrer dans les constitutions la reconsidération de la rivière et de l’arbre en leur accordant la personnalité juridique. Le but étant de mettre en place une nouvelle dimension spirituelle “naturaliste”, en opposition totale aux religions dogmatique de l’histoire. Le principe de base permet de créer un socle de croyances communes aux terres / communautaires afin de prioriser nos devoirs de les comprendre, les respecter et les préserver, bien avant nos droits à les exploiter.

    Ils sont les éléments clés de notre survie, notre bien être, l’assurance de l’avenir de nos enfants, l’essence même de nos racines que l’organisation de ce chaos nous force à ignorer puis oublier, nous plongeant dans une dissonance cognitive via un terrorisme intellectuel pratiqué sans vergogne depuis des siècles.

    J’espère avoir la chance de développer cette réflexion avec vous , vos critiques et votre philosophie m’ont beaucoup apportés, et vous avez déjà compris que seul, nous ne sommes rien, ce sont les liens que nous construisons qui permettent à la conscience et l’intelligence collective de nous aider à dépasser les limites des possibles.

    Bien à vous, fraternellement.
    Mickaël.

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