Tout récemment, l’actualité a vibré autour de l’ordinateur quantique de la NSA, le Washington Post relayant les (fausses ?) confidences d’Edward Snowden. Présenter comme un scoop l’existence de recherches en la matière faites par les grandes oreilles d’Obama relève de la plaisanterie : il est bien évident que l’importance des enjeux justifie que toute officine de renseignements, où qu’elle soit et au service de qui que ce soit, se doit d’être associée à de telles études, voire d’ouvrir son portefeuille pour participer à leur financement.